Astuces Santé +




Liste des articles par ordre de publication:

Vive ma vieille cafetière!
Cerises : bienfaits et vertus
L'algue AFA : et si on en reparlait...
Quelques vérités sur la viande... Il faut quand même en parler!
Un petit mot sur les dattes
Le poireau: ne vous en privez-pas!
Foie gras pour Noël...?
Bananes avec des tâches? Un atout!
VACCIN ANTIGRIPPE
3 soi-disant aliments 'santé' à ne pas consommer!
Mangez-vous des pesticides?
Fraises: des propriétés qu'on ne soupçonne pas!
Le Buis,  en interne comme en externe.
Quelle courge...!
Les effets de la viande rouge...
COWSPIRACY, le documentaire choc!
Le radis noir, un allié pour le foie, et plus!
Les dattes: un doux plaisir
L'alimentation crue, un mode de guérison?
Et la Pêche, vous y avez pensé? 
L'été, pensez à manger de la pastèque!
Et si on mettait fin à l'élevage intensif?
Ducasse fait la révolution: il retire la viande de son menu
Envie d'une tarte aux cerises...

La boucherie végétarienne: la nourriture du futur...?
Le Thym, la plante de toutes les saisons!






Vive ma vieille cafetière ! 



Je suis sûr que votre café aura un autre goût après cette lecture ! ! !

Simplement pour votre information et … Bonne dégustation après tout ça !



Je suis une dosette. Je vous en fais voir de toutes les couleurs !

Le séduisant George Clooney en use avec délectation dans un feutré, idéalisé et fantasmé.

Mes 4 grammes de café sont habillés d'une robe d'aluminium à la couleur de votre choix chacun y trouve son café, selon son goût et son humeur.

Le paradis au bout des lèvres, avec son arôme et surtout sa fameuse mousse !

 
Le raffinement ! Le luxe à portée de tasse.

4 grammes de café à 0,40 EUR, ça nous fait pour 1000 grammes de café 100 EUR.

Oui, 100 EUR le kilo, c'est le prix du luxe, on ne va pas chipoter, ce serait petit.

Il faut, bien sûr, s'en donner les moyens.

Je ne fais pas dans la dentelle avec mes habits de lumière en aluminium.

J'ai besoin de beaucoup d'énergie électrique fournie par de belles centrales nucléaires ou de très efficaces centrales thermiques.

Pour 1 tonne d'aluminium, j'offre 4 tonnes de rejets sous forme d'arsenic, de titane, de chrome, de plomb, de vanadium, de mercure, bref, de magnifiques boues rouges qui par exemple, grâce à une superbe canalisation terrestre de 55 km, glissent depuis l'usine Altéo de Gardanne jusqu'à la grande bleue.

Et grâce à un autre beau tuyau de 7,7 km, je vais me balader, tenez-vous bien, jusqu'à 320 mètres de profondeur, tout au fond du canyon sous-marin de Cassidaigne dans le magnifique parc des calanques.

Tout ça, donne soif, je bois comme un trou de la bonne eau locale.

J'en suis quelque peu fier, bien sûr, même si mes amis chinois et brésiliens font beaucoup mieux !



Maintenant, je vous invite à faire un petit tour dans la tasse : Avec mes 1 000 tonnes de café par semaine, je suis le roi du marché !

Je fais ce que je veux. Je prends toutes les origines de café au cours le plus bas du moment. Je te mélange tout ça au mieux (au mieux financier, bien sûr).

De toute façon, je m'en sortirai toujours grâce aux arômes ajoutés.

Vous savez bien, cette petite note de noisette si subtile !

Pour la torréfaction, je suis le champion : 1000°C en 90 secondes quand les autres (traditionnels) font avec 200/220 ° en 20 minutes. Et toc, bingo !

Le pompon, c'est la mousse qui persiste plusieurs heures quand les autres ne tiennent que quelques minutes.

Là, la recette est secrète. Je vous en dis un peu, pas tout, juste un peu : un chouia de graisse animale, des additifs top secret, et c'est joué.



D'une manière générale, je me débrouille plutôt bien pour qu'on se souvienne de moi, car, malgré quelques tentatives poussives et gourmandes en énergie et en eau, je ne suis presque pas recyclé.

Comme ça, vous pouvez me retrouver un peu partout sur la planète.

J'aime bien les vortex océaniques, ça marche du tonnerre !

Franchement, "y'a photo" face, par exemple, aux petits producteurs du réseau "équitable" (pour ne parler que de ceux-là, car il y a bien d'autres petits producteurs qui ne font pas partie de ce réseau).

Ils disent, qu'eux vendent 20 EUR le kilo les grands crus de café d'Éthiopie, de Madagascar, du Pérou, d'Équateur, du Honduras…

Ils disent aussi que, grâce au "réseau équitable", ils ont un toit, une dignité et qu'ils peuvent envoyer leurs enfants à l'école afin qu'ils soient instruits et qu'ils aient un meilleur avenir...

Mais, ont-ils vraiment besoin de lire, d'écrire, de calculer et de réfléchir alors qu'on le fait pour eux ?



Ah, j'oubliais !... J'ai aussi le record du plus grand taux de Furane.

Là, ne m'applaudissez pas car il arrive qu'on batte des records sans réelle volonté.

Une recherche sur internet vous apprendra que le Furane est une substance organique (produit intermédiaire utilisé dans l'industrie chimique comme solvant pour les résines lors de la production de laques et comme agglomérant dans la fonderie).

Volatile, lipophile et cancérigène pour le foie, le furane double de quantité lorsque le café ingéré provient de capsules plutôt que d'une cafetière classique, selon les scientifiques de l'université de Barcelone.



CAPSULES DE CAFÉ NESPRESSO : UNE DOSE DE CANCER À CHAQUE FOIS !

C’est à prendre ou à laisser !
INFORMEZ VOS JEUNES et tous les autres ! !

Cerises: bienfaits et vertus
Rien ne rappelle autant l’été que des cerises fraîches gorgées de soleil. Elles sont extrêmement riches en nutriments et regorgent de bienfaits et vertus santé.
Ce délicieux petit fruit rouge regorge d'antioxydants, de fibres et s'avère peu calorique! Il permet également de mieux prévenir diverses maladies, dont le diabète et certains types de cancer.
La cerise, le plus sucré des fruits rouges, et aussi le plus énergétique, est plutôt bien pourvue en apports nutrionnels :
-          quantités non négligeables de calcium, de fer et de cuivre, taux de magnésium modéré, de même que sa teneur en soufre et en chlore ;
-          grand nombre d’oligo-éléments (zinc, manganèse, nickel, fluor, iode, cobalt, sélénium, etc.).
-          éventail vitaminique très large : vitamine C, provitamine A (ou carotène) , et toutes les vitamines du groupe B.

Ses bienfaits ?
1. Soulager les douleurs articulaires
La riche couleur rouge de la cerise vient des anthocyanines, antioxydants également présents dans le raisin et le vin. Ces antioxydants sont riches en bienfaits et inhibent la formation d’enzymes associées à l’inflammation; par conséquent, ils pourraient contribuer à soulager les douleurs musculaires et articulaires.
2. Protéger le côlon
Ce petit fruit renferme également de la quercétine, un flavonoïde exerçant une activité anti-cancérigène. Les résultats d’une étude publiée récemment dans le Journal of Nutrition indiquent qu’elle contribue à prévenir la formation, dans le côlon, de lésions susceptibles de se transformer en tumeurs.
3. Réguler le taux de cholestérol
La cerise est riche en pectine, fibre soluble qui fait baisser le taux de «mauvais» cholestérol, contribuant ainsi à prévenir la cardiopathie.
4. Favoriser la vue
La cerise acide renferme 19 fois plus de bêta-carotène que le bleuet. Cette substance, qui est un précurseur de la vitamine A, contribue à une bonne vision et à la santé de la peau.
5. Faciliter le sommeil
Cette proche cousine de l’abricot, de la pêche et de la prune est l’une des rares sources alimentaires de mélatonine, hormone intervenant dans la régulation du cycle circadien de l’organisme et favorisant le sommeil.
6. Riche en fibres
Les cerises sont riches en fibres et permettent ainsi de calmer la faim. Pour 100 grammes de cerises, vous obtiendrez 1.6 gramme de fibres. En collation, combinez les cerises avec une source de protéines, comme un yogourt par exemple, pour contrer vos rages de sucre.
7. Peu caloriques
Malgré son goût savoureux, la cerise ne compte que très peu de calories. Pour 100 grammes de cerises, il ne faut compter que 50 calories.
8. Prévenir le cancer
Riche en anthocyanine et en cyanidine, la cerise permettrait également de mieux prévenir l’apparition de certains types de cancer, notamment des cancers de la bouche et des poumons.
9. Prévenir la goutte
Une étude soutient que le fait de consommer des cerises pouvait aider à prévenir l’apparition de la goutte de près de 35%.
10. Prévenir le diabète
Si de plus amples recherches doivent encore être faites auprès d’humains, une étude scientifique effectuée sur des rats soutient que les cerises acides pourraient aider à mieux prévenir l’apparition du diabète.


L'algue AFA: et si on en reparlait...

D’après les nombreuses études qui ont été faites sur cette algue merveilleuse poussant à l’état sauvage dans le sud de l'Oregon (États-Unis), on peut dire qu'il s'agit d'un des aliments les plus complet de la planète.
Les propriétés exceptionnelles de l'algue Klamath, s'explique peut-être déjà par le lieu où elle croît : le lac « Upper Klamath », une grande étendue d'eau (325 km2) alimentée exclusivement par l'eau de source provenant des volcans environnants, à la jonction de 3 plaques tectoniques, dans le creuset d’un ancien glacier, à une altitude de 1400 mètres.
Situé dans un immense parc naturel, il est protégé de toute pollution industrielle. Le fond du lac est formé d’une couche sédimentaire de plus de 10 mètres qui s’est formée au fil des millénaires, extrêmement riche en minéraux. Ce sont ces minéraux qui seraient responsables de la forte croissance, en surface, de l’algue bleue, ou Aphanizomenon flos-aquae (AFA) selon sa terminologie scientifique.
Il est entre autre situé juste au nord du mont Shasta, un volcan qui culmine à 4317 m d'altitude (que l'on aperçoit sur la plupart des photos), bien connu des milieux ésotériques et alternatifs (il serait un haut lieu d'énergies "cosmo-telluriques").
La situation privilégiée du lac Klamath confère à ses eaux une grande richesse en minéraux volcaniques et en oxygène. Il bénéficie d'un ensoleillement intense, qui permet à l'algue de développer d'importantes propriétés photosynthétiques. Ses caractéristiques géographiques et géologiques en font un écosystème unique, faisant partie d'une zone naturelle protégée, propice au développement d'AFA.


Cette microalgue unicellulaire d'eau douce a un profil nutritionnel très complet et à haute biodisponibilité. On retrouve notamment dans sa composition :
-       Les 14 vitamines : B1, B2, B3, B5, B6, B8, B9, B12, A, C, E, F, J, K.
-       Plus de 60 minéraux et oligoéléments identifiés :
-          Sels minéraux: calcium, magnésium, phosphore, potassium, sodium.
-       Oligo-éléments: bore, chlore, chrome, cobalt, cuivre, étain, fer, fluor, germanium, iode,
manganèse, molybdène, nickel, sélénium, silice, titane, vanadium, zinc.
- 13 protéines, 5 nucléotides
- Tous les acides aminés essentiels, semi-essentiels et la plupart des acides aminés non-essentiels.
-  Des nucléoprotéides, structures de base de l'ADN et ARN.
- De nombreux peptides, dont les neuropeptides qui renforcent et réparent les cellules nerveuses.
- Tout un spectre d'hormones végétales ; de pigments oxygénant et antioxydants, précurseurs des vitamines, des enzymes et coenzymes.
- 15 caroténoïdes ; du bêta carotène (provitamine A) - l'algue Bleue en contient dix fois plus que les carottes ; de la lutéine, zeaxanthine, du Lycopène et de l'aphanine, un caroténoïde unique à cette espèce.
-  De la chlorophylle, les algues en possèdent le taux le plus élevé de tous les aliments 
connus. Sa capacité de stocker l'énergie solaire. En outre, sa grande ressemblance avec l'hémoglobine lui a valu le nom de sang végétal.
-     De la phycocyanine, proche des pigments biliaires humains, ce pigment bleu, qui protège l'algue de l'insolation, est un puissant anti-inflammatoire et antioxydant.
-  Une grande concentration en acides gras essentiels AG omégas 3 et 6, principaux constituants de nos membranes cellulaires, les graisses polyinsaturées représentent l'étanchéité de nos cellules, fortifient nos veines et nos artères, luttent contre l'hypertension, préviennent les accidents cardio-vasculaires et de nombreuses autres maladies.
-  Des Polysaccharides, les algues bleues renferment quelques polysaccharides, le plus souvent liés à d'autres composés pour former des macromolécules. En outre, suivant les espèces, elles renferment des formes qui leur sont propres. Ses principaux glucides sont: MANNOSE, RHAMNOSE, RIBOSE, GALACTOSE, GLUCOSE, FUCOSE, XYLOSE, ARABINOSE. Leurs formules originales s'apparentent généralement à ces derniers, et jouent un rôle capital dans la fixation et l'élimination de nombreux agents contaminants comme les métaux lourds et les pesticides, ainsi que dans la stimulation des macrophages. 
-  Des polyphénols,
-  Ainsi que des molécules spécifiques algales telles que mycosporine-like aminoacids (MAAs) [mycosporines algales], AFA–phycocyanines (AFA–PCs), β–phényléthylamine (PEA).
Avec plus de 115 micro-nutriments, l’algue Afa représente l’aliment le plus complet de la planète

Et voici les différents bienfaits répertoriés avec une consommation régulière de l’algue AFA :
Régule le métabolisme, stimule la digestion, entretient et nourrit les articulations, améliore la qualité des phanères (peau, ongles, cheveux), protège le système cardio-vasculaire, renforce les défenses immunitaires, empêche la réplication des virus, lutte contre les radicaux libres, protège de toutes les formes de pollutions, accroît la résistance aux phénomènes radiants, combat l'inflammation, stimule la régénération cellulaire, soutient et accélère les processus d'autoguérison, améliore les performances intellectuelles l'activité mentale, la concentration et la mémoire, diminue le stress physique et émotionnel, augmente et améliore l'énergie à long terme.
Ainsi, l’AFA a des effets sur :
Problèmes gastro-intestinaux, rhumatismes, problèmes cardio-vasculaires, hypercholestérolémie, hypertension, hypotension, fibromyalgie, arthrites, colites, obésité, dépression, acouphènes, traumatismes crâniens, déficit d'attention, enfants hyperactifs, troubles de la mémoire, fatigue chronique, diabète, hypoglycémie, problèmes cutanés, asthme, allergies, rhume, grippe, empoisonnements aux métaux lourds, pollutions électromagnétiques, hépatites, infections virales, Alzheimer, Parkinson, stress, vieillissement et dégénérescence cellulaire, dysfonctionnements endocrines, mauvaise immunité, épilepsie, sclérose en plaques, myasthénie, dégénérescence maculaire de la rétine, cataracte, pression intra-oculaire, glaucome, cancer, sida, récupération de l'organisme et accélération de la guérison en cas de traitement médicamenteux (trithérapie, chimiothérapie, antibiothérapie, anxiolytiques ...).
 Il faut toutefois garder à l'esprit que ces données relèvent d'observations personnelles, qu'elles n'ont pour la plupart pas fait l'objet de recherches approfondies et que certaines concernent des cas isolés.
Encore plus d'infos sur notre site 

Quelques vérités sur la viande... Il faut quand-même en parler!
Autrefois l'apanage des pays riches, la consommation de viande ne cesse de se démocratiser et d'augmenter dans le monde. L'élévation du niveau de vie dans les pays en voie de développement amplifie les effets déjà catastrophiques, mais peu évoqués, d'une surconsommation de viande non soutenable et inutile dans les pays dits développés.
Entre 1950 et 2000, la consommation de viande au niveau mondiale a été multipliée par 5 alors que la population a "seulement" doublé. Une tendance qui devrait se confirmer vu l'élévation du niveau de vie dans de nombreux pays.
En moyenne, un être humain consomme 100 g de viande par jour. Dans les pays développés, la consommation est supérieure à 200 g par jour alors que dans les pays en développement elle est de 47 g, avec de fortes disparités régionales.
Comme de nombreux pays dits "développés", c'est à partir des trente glorieuses (1945-1975) que la consommation de viande en France a explosé jusqu'à devenir biquotidienne dans de nombreux foyers. Dans le même temps, la consommation des produits traditionnels de base (légumineuses, céréales, tubercules) a diminué.
Toutefois, la consommation totale de viande en France stagne depuis 1998, malgré un rebond en 2010.
En moyenne, un Français mange près de 89 kg de viande par an (contre 81,9 kg en moyenne dans l'Union européenne), soit plus de 240 g par jour : c'est l'équivalent de plus de 6 tranches de jambon ! Cela représente, pour notre pays, l'abattage de 1,1 milliard d'animaux par an (entre 60 à 130 milliards à l'échelle mondiale).
Une pression sur la surface agricole disponible
La production mondiale de viande était de 302,4 millions de tonnes en 2012 (FAOSTAT) et pourrait atteindre 465 millions de tonnes en 2050 tandis que la production de lait passerait de 702,1 millions de tonnes à 1 043 millions de tonnes sur la même période au regard de la croissance démographique et de l'évolution des habitudes alimentaires. Or, pour nourrir le bétail, la demande en céréales augmente de manière considérable, les céréales étant de plus en plus l'aliment de base du bétail, au détriment de l'herbe des pâturages.
C'est pourquoi, selon les prévisions de l'Organisation des Nations Unies pour l'Alimentation et l'Agriculture (FAO), il serait nécessaire de doubler la production agricole d'ici à 2050. En effet, pour produire un kilo de viande, il faut 7 kilos de céréales. Pour répondre à cette demande, il est possible d'augmenter la surface des terres cultivées, mais à quel prix ? Déforestation, monocultures intensives, utilisation de pesticides, d'OGM, destruction d'écosystèmes et perte de biodiversité...
Ainsi, l'élevage extensif et le soja exporté comme aliment du bétail sont la première cause de la déforestation selon Alain Karsenty, économiste au Centre de coopération internationale pour le développement et expert auprès de la Banque mondiale. Après une enquête de 3 ans publiée en juin 2009, Greenpeace affirme que l'élevage bovin est responsable à 80% de la destruction de la forêt amazonienne...
L'Union Européenne, dont la superficie des forêts augmente, est le 4e importateur de bovins derrière les USA, la Russie, et le Japon et 80% de ses importations proviennent d'Amérique du Sud. Or, la France est le premier consommateur européen de viande bovine. Ainsi la consommation de viande en Europe et en France est une cause de la déforestation en Amérique du Sud.
Surfaces de sol nécessaires par aliment
De plus, la production animale entre maintenant en concurrence avec les agrocarburants et bientôt les bioplastiques dans l'utilisation des surfaces agricoles.
Au total, 30 % de la surface agricole utile dans le monde est utilisée pour produire de la viande (80 % aux Etats-Unis) alors qu'à surface égale, les cultures produisent 10 à 15 fois plus de protéines que la production de viande.




Un petit mot sur les dattes...
Comme tous les fruits, les dattes contiennent des vitamines, en particulier des vitamines A, B1, B2, B3, B5. Ces fruits sont riches en minéraux, notamment en potassium, magnésium et fer. Les dattes vous donneront une recharge d’énergie par sa teneur en glucose, fructose et saccharose. Leur consommation est privilégiée chez les sportifs et personnes âgées.
La présence de fibres et d’acides aminées dans ce fruit favorise la digestion. C’est un régulateur du transit intestinal et un aliment laxatif. 
Fraîches, elles sont riches en anti-oxydant, grâces à des dérivés de la carotènoïde (béta-carotène et provitamine A). Cela favorise la construction de défenses immunitaires. Sèches, la phase de déshydratation fait perde une partie de cette propriété.
Avec 50 grammes de dattes, soit 6 à 8 fruits, vous nourrissez vos muscles avec l’apport de glucides (96% de l’aliment en contient). Avec cette quantité de fruits, vous fournissez à votre corps 10% de ses apports journaliers recommandés en minéraux. Mais également un quart du besoin quotidien en fibres alimentaires.
Une étude, menée par des chercheurs du centre médical technologique de Rambam, en Israël, mentionne une association fructueuse entre les dattes et le jus de grenade pour lutter contre le cancer. Ces scientifiques ont étudié les cellules artérielles de souris avec un fort taux de cholestérol. L’administration d’un cocktail de jus de grenade et de dattes (fruits et graines) ont fait chuter le stress oxydant sur les parois artérielles et le cholestérol artériel. Cette étude révèle une combinaison des plus protectrices pour le coeur.
L’association de ces fruits prévient l’apparition de plaques de cholestérol sur les parois des artères et donc de l’athérosclérose, selon les scientifiques au Technion. Bien que riche en sucre, les chercheurs n’ont observé aucune hausse du taux de glycémie (ou taux de glucose) dans le sang.
Quand les déguster ?
Entre les repas, quelques dattes vous donneront  un regain d’énergie. Elles sont faciles à manipuler et à transporter. Cependant, elles peuvent servir d’encas au goûter si vous les préparez en compote, sans avoir à les cuire, juste à mixer. Leur texture en fait un aliment simple à réduire en une sorte de purée. Vous pouvez écraser six à huit dattes et ajouter quelques amandes. Elles s’associeront tout autant à des purées de sésames ou de noisettes.



Le poireau : ne vous en privez pas !
Le poireau est riche en fibres, vitamines, sels minéraux, oligo-éléments et anti-oxydants. Composé de 90 % d’eau et faible en calories, on le recommande dans les régimes amincissants.
Les fibres : 3,2 g par 100 g, elles favorisent le bon fonctionnement du transit intestinal et préviendraient ainsi du cancer du côlon. La présence d’une quantité importante de mucilage et de cellulose, explique son action bénéfique dans l’intestin qu’il nettoie et lubrifie.
Le poireau contient des composés soufrés protecteurs qui lui donnent sa forte odeur lorsqu’on le coupe.
Les vitamines : Provitamine A Bêta-carotène : (60 µg/100 g) essentielle pour la santé, la vitamine A joue également un rôle important dans la vision au niveau de l’adaptation de l’œil à l’obscurité, elle participe également à la croissance des os, à la régulation du système immunitaire. Vitamine B6 aussi appelée pyridoxine : elle est essentielle car notre organisme ne sait pas la fabriquer et joue un rôle de cofacteur dans un grand nombre de processus liés au métabolisme des acides aminés et des protéines.
Vitamine B9 ou Folate : (95 µg/100 g cru et 54,5 µg/100 g cuit) Elle joue un rôle essentiel dans la fabrication de toutes les cellules de notre corps, dont la production de notre matériel génétique, le bon fonctionnement du système nerveux et immunitaire. Les folates jouent également un rôle dans le processus de division cellulaire.
Vitamine C : (17 mg/100 g/cru 4,15 mg/100 g cuit) le rôle que joue la vitamine C dans l’organisme va au-delà de ses propriétés antioxydantes. Elle contribue aussi à la santé des os, des cartilages, des dents et des gencives. De plus, elle protège contre les infections, favorise l’absorption du fer contenu dans les végétaux et accélère la cicatrisation
Les oligo-éléments : Cuivre : en tant que constituant de plusieurs enzymes, il est nécessaire à la formation de l’hémoglobine et du collagène (protéine servant à la structure et à la réparation des tissus) dans l’organisme. Plusieurs enzymes contenant du cuivre contribuent également à la défense du corps contre les radicaux libres.
Fer : (0,75 mg/100 g/cru et inférieur à 0,7/100 mg cuit), toutes les cellules de notre corps sont composées de fer. Il est essentiel au transport de l’oxygène et à la formation des globules rouges dans le sang et joue un rôle important dans la fabrication de nouvelles cellules, des hormones et des neurotransmetteurs.
Les minéraux : Calcium : (27,4 mg/100 g/cru et 25,3 mg/100 g cuit), joue aussi un rôle important dans la coagulation du sang, le maintien de la pression sanguine et la contraction des muscles, dont le cœur.
Phosphore : (32,9 mg/100 g/cru et 20 mg/100 g cuit) considéré comme le deuxième minéral le plus abondant de l’organisme après le calcium. Il joue un rôle important pour le maintien de la santé des os et des dents.
Potassium : (281 mg/100 g/cru et 148 mg/100 g cuit), important pour la croissance et l’entretien des cellules. Indispensable au système nerveux et à la contraction musculaire normale - y compris le muscle cardiaque. Le potassium est également un électrolyte qui aide à équilibrer les fluides du corps humain, important pour maintenir une bonne pression artérielle.
Zinc : (0,218 mg/100 g/cru et inférieur à 0,2/100 mg cuit) joue un rôle important dans le cadre des réactions immunitaires, de la fabrication du matériel génétiques, de la cicatrisation des plaies et du développement du fœtus.
Les antioxydants, comme les flavonoïdes et les caroténoïdes ainsi que des composés soufrés protecteurs à l’action antioxydante. Les antioxydants permettent de neutraliser les radicaux libres du corps jouant ainsi un rôle de prévention contre les maladies cardiovasculaires et certains cancers.
En outre poireau contient des saponines (molécules qui servent probablement aux plantes de substances défensives, en particulier contre les agressions microbiennes et fongiques), et des saponégines, substances qui auraient les facultés de réduire le cholestérol sanguin et lui conférerait également des propriétés antifongiques et anti-cancer.
Et pour terminer, le poireau est antifongique, antiseptique, diurétique et laxatif.
Alors il ne faut pas s’en priver…



Foie gras pour Noël...??



« Depuis le temps que JE HURLE, non seulement contre l’insoutenable martyre des canards et des oies – animaux sensibles et intelligents – dans les fermes de gavage, mais aussi et surtout contre les consommateurs de foie gras qui, par leur gourmandise perverse, perpétuent dans une indifférence totale cette honteuse coutume envers des animaux prisonniers… cette fois ça bouge enfin !


Pour faire pression, comme chaque année à Noël, les dénonciateurs du gavage des oies et canards ont manifesté devant des grands restaurants. Mais cette fois, le résultat de leur action a été différent de celui des années précédentes. La nouveauté, c'est que Joël Robuchon et Alain Ducasse ont craqué. Ils n'ont pas appelé la police, mais publié des communiqués, l'un annonçant qu'il renonçait à son fournisseur de foie gras, l'autre qu'il s'engageait à vérifier les accusations de L214, cette petite association qui a pris pour nom celui d'une série d'articles du code rural existants dont le premier précise que "tout animal étant un être sensible doit être placé par son propriétaire dans des conditions compatibles avec les impératifs biologiques de son espèce”.


Johanne Mielcarek une des responsables de L214 se réjouit : “La télé parle enfin de nos enquêtes, nous ne sommes plus pris pour des dingues !” Autre signe : le Comité interprofessionnel des palmipèdes à foie gras (CIFOG) a reconnu être “peut-être allé trop loin”. Les militants de L214 avaient bien visé. L'un d'eux a filmé, à l'intérieur des locaux de la société Ernest Soulard, en Vendée, ces milliers de canards coincés dans des petites cages et gavés à la pompe hydraulique (2 kg de pâtée de maïs injectés en quelques secondes). Un enfer de bêtes blessées, avec un taux de mortalité énorme, loin de l'image du palmipède gentiment gavé à la main, la tête entre les cuisses de la fermière…


L'association L214 révèle que les grands étoilés de la capitale qui vantent le terroir à des prix astronomiques s'approvisionnent en fait dans ces usines immondes ! Face à la panique, la filière (dont les ventes baissent depuis 2011) a fait son mea culpa et a promis de défendre les petits fermiers. Il était temps, puisque 88 % de la production provient de chaînes de gavage industriel de plus de 1 000 cages…

Cette très symbolique querelle du foie gras résume tous les aspects du débat qui monte sur les souffrances des animaux d'élevage. Les producteurs de foie gras se défendent en rappelant que l'engraissement du foie est naturel chez les oiseaux migrateurs et qu'il s'agit d'une activité traditionnelle en France. Mais leurs usines à gavage multiplient par 10 le poids du foie, au point de rendre tellement difficile la respiration des bêtes que certaines meurent d’étouffement ou d’arrêt cardiaque. Ni les oiseaux migrateurs, ni nos aînés dans les campagnes, n'ont jamais atteint ces chiffres épouvantables.


La grande honte, c'est qu'il existe un foie gras naturel, avec label “bio”, mais qu'il est espagnol ! En Estrémadure, la société La Pateria de Sousa élève des oiseaux en liberté pour un foie gras naturel, vrai produit de luxe vendu à 400 €/kg (et ce n’est pas encore assez cher selon moi !). Elle a été primée en 2006 par le Salon de l'alimentation de Paris. Éleveurs de France, ne nous dites pas qu'on ne peut pas produire autrement sans courir à la ruine !

Double honte française : les cages individuelles étant interdites par l'Europe depuis 1999, les usines à foie gras, chez nous, avaient demandé un sursis, le temps de développer des “alternatives au gavage”… Mais pendant tout ce temps, les producteurs se sont surtout ingéniés à renforcer, par l'industrialisation, leur politique de baisse des prix, ruinant ainsi les petits élevages artisanaux…

D'où la question – y a-t-il un bon élevage ? – qui divise les défenseurs des animaux entre ceux qui, comme L214, militent pour l'interdiction du foie gras et ceux qui prônent le Label rouge, garantie de vie “normale” pour les palmipèdes. Les producteurs, eux, font profil bas parce que leurs conseillers en communication leur ont expliqué qu'ils ne pouvaient plus se contenter de tourner en ridicule les “zamis-des-zanimaux”.
Longtemps, en effet, les lobbies de la bidoche industrielle, fous de tauromachie, sacrificateurs halal et aristos de la chasse à courre pouvaient se moquer des mémères de la SPA et rhabiller Brigitte Bardot en mégère d'extrême droite. Ils ont désormais face à eux un tout autre front allant de Charlie Hebdo à la fine fleur de la philosophie française. Peu avant le coup d'éclat de L214 sur le foie gras, une pétition d'intellectuels qui n'ont pas l'habitude de signer ensemble (dont Elisabeth de Fontenay, Michel Onfray, Alain Finkielkraut, Luc Ferry, Jacques Julliard, Danièle Sallenave, André Comte-Sponville) demandait que le Code civil ne considère plus l'animal comme un “bien meuble” et qu'il lui donne le statut d'être vivant et sensible.

Aujourd'hui, il n'y a donc plus que deux positions tenables : celle qui remet purement et simplement en cause la légitimité de l'élevage et celle, plus consensuelle, qui prône un “élevage éthique assurant une bonne vie et une bonne mort” à l'animal.


Mais, quelle que soit l'option choisie, il faut en finir avec le mangeur de viande qui ne supporte pas de savoir ce qui a été fait à la bête. »
Michel Dogna

                                              Bananes avec des tâches ? Un atout !
La banane est pleine de nutriments, de vitamines, de fibres, d’antioxydants et de sucres entièrement naturels, comme le saccharose et le fructose et de vertus qui permettent de renforcer votre système immunitaire, d’améliorer votre digestion et de traiter et prévenir plusieurs maladies et troubles de santé. 
Selon une recherche menée à l’Université de Tokyo, les bananes qui ont beaucoup de taches noires contiennent plus de TNF-alpha, et sont 8 fois plus saines et plus efficaces pour booster le système immunitaire que les bananes vertes
En plus des tâches brunes et leurs qualités de renforcement du système immunitaire, les bananes ont un certain nombre d’autres avantages pour la santé. Ainsi, manger 2 bananes par jour serait bénéfique pour :
1) Les brûlures d’estomac
Les bananes agissent comme un antiacide naturel et permettent d’apaiser votre estomac, de soulager les douleurs et de prévenir les reflux gastriques.
2) L’hypertension artérielle
D’après une étude menée par l’Université de Médecine de Kasturba, en Inde, manger 2 bananes par jour pendant une semaine aide à diminuer le niveau de la pression artérielle de 10%. Son efficacité vient de sa richesse en potassium, qui aide à réduire l’hypertension et à booster le fonctionnement du cœur.
3) Donne de l’énergie
Manger une banane ou deux avant une séance d’entraînement ou pendant vous donne assez d’énergie pour une heure ou plus. Grâce à sa forte teneur en vitamines (C, B6 et B9), en minéraux (potassium, magnésium, cuivre et fer) et en glucides, la banane apporte à l’organisme une quantité importante de nutriments dont il a besoin pour bien fonctionner. Consommée régulièrement, elle permet de lutter contre la fatigue et d’améliorer les performances physiques et cognitives.
 4) Les ulcères
Grâce à son effet antibactérien et sa capacité à réduire l’acidité gastrique, elle permet de renforcer la paroi de l’estomac et de réduire considérablement l’inflammation.
5) L’anémie
Riche en fer (100 g contiennent 0,3 mg de fer), elle permet d’augmenter la production d’hémoglobine et renforce l’approvisionnement en sang, donc prévient l’anémie
6) La dépression
Grâce à sa richesse en tryptophane, une protéine qui est convertie par le corps en sérotonine (hormone du plaisir et du sommeil), la banane aide à lutter contre la dépression et les sautes d’humeur.
7) La Constipation
Si vous êtes constipé, mangez quelques bananes. Elles ont assez de fibres pour stimuler la régularité des selles et fournir un soulagement naturel pour la constipation.
8) Les Nerfs ou PMS
Lorsque vous vous sentez déprimé et stressé, mangez une banane. Elles aident à réguler la glycémie et sont riches en vitamines B, qui calme naturellement le système nerveux et rend les gens détendus, ce qui entraîne une amélioration de l’humeur générale,
9) Le syndrome prémenstruel
Sautes d’humeur et envies subites de sucre sont deux symptômes très courants avant ou pendant les règles. Pour vous aider à améliorer et stabiliser l’humeur, ainsi que réguler votre taux de glycémie, choisissez une banane bien mûre. Sa richesse en vitamine B6 vous aidera à passer plus sereinement cette période du mois.
10) La température corporelle
C’est un fruit rafraîchissant, manger une banane vous aidera à réduire la température de votre corps en cas de fièvre ou de grosse chaleur. Elle est aussi conseillée aux femmes pendant la grossesse et la ménopause, afin de réguler leur température et réduire les bouffées de chaleur.
ATTENTION:
Plus une banane est mûre, plus l’amidon qu’elle contient se transforme en sucre. Elle est donc à consommer avec modération par les personnes souffrant de diabète.


  VACCIN ANTIGRIPPE 


Si vous connaissez quelqu’un qui envisage un vaccin contre la grippe cette année, montrez-lui ceci !!
Le verdict est tombé sur le vaccin contre la grippe. De nombreux experts médicaux reconnaissent maintenant qu’il est plus important pour vous et votre famille de vous protéger du vaccin contre la grippe que de la grippe elle-même.
Chaque année, l’industrie pharmaceutique, les experts médicaux et les médias grand public travaillent dur pour nous convaincre de nous faire vacciner contre la grippe.
Mais on ne nous dit pas toute l’histoire.
Ce que nous n’entendons pas, ce sont les cas d’effets indésirables ou les produits chimiques toxiques que l’on nous injecte.


11 raisons pour lesquelles les vaccins contre la grippe sont plus dangereux qu’une grippe

1. En fait le vaccin contre la grippe rend malade pour commencer
Avez-vous déjà remarqué comment les enfants vaccinés tombaient malades, presque immédiatement après une vaccination? C’est parce que le virus de la grippe est introduit dans le corps. Alors plutôt que de vacciner, le vaccin contre la grippe sensibilise seulement le corps contre le virus. Et le fait qu’il rende des personnes malades après la vaccination indique une immunosuppression (suppression médicale du système immunitaire).
2. Les vaccins antigrippaux contiennent d’autres ingrédients dangereux tels que le mercure
L’industrie pharmaceutique, les experts médicaux et les grands médias sont sincères en nous disant que les vaccins contre la grippe contiennent des souches du virus de la grippe. Ce qu’ils sont moins susceptibles de nous révéler, c’est la longue liste des autres ingrédients qui viennent avec le vaccin. On sait désormais que les vaccins contre la grippe contiennent du mercure, un métal lourd connu pour être dangereux pour la santé humaine. La toxicité du mercure peut causer la dépression, perte de mémoire, maladies cardiovasculaires, problèmes respiratoires, problèmes de santé bucco-dentaire, déséquilibres digestifs et d’autres problèmes de santé graves.
3. Le vaccin contre la grippe peut causer la maladie d’Alzheimer
Maintenant, des preuves indiquent que les vaccins contre la grippe peuvent causer la maladie d’Alzheimer. Des recherches menées par le Dr Hugh Fudenberg, spécialiste en immunologie, montrent que ceux qui font régulièrement le vaccin contre la grippe augmentent leur risque d’avoir la maladie d’Alzheimer par 10. Il croit que cela est dû à la combinaison toxique de l’aluminium et du mercure dans le vaccin. En outre, le fait de le faire à une personne âgée (qui avec l’âge va naturellement avoir un système immunitaire plus faible) ne fera qu’augmenter ses chances d’avoir cette maladie.
4. Les mêmes personnes qui poussent à se faire vacciner contre la grippe se font des milliards de dollars chaque année
En Août 1999, le Comité sur la réforme du gouvernement a lancé une enquête sur la politique fédérale de vaccination. Cette enquête a porté sur d’éventuels conflits d’intérêt de la part de la Food and Drug Administration (FDA) et les Centers for Disease Control and Prevention (CDC). L’enquête a conclu que de nombreuses personnes siégeant dans les deux principaux comités consultatifs avaient des liens financiers avec les compagnies pharmaceutiques qui fabriquent les vaccins. Souvent, on a accordé des dérogations à ces personnes pour participer pleinement aux discussions qui ont abouti à des recommandations en matière d’homologation des vaccins et de vaccins pour l’immunisation des enfants. Ce qui en soi crée de sérieux doutes quant à la réelle efficacité des vaccins contre la grippe.
5. Manque de preuves réelles alors que même les jeunes enfants bénéficient de vaccins contre la grippe
51 études impliquant 260 000 enfants âgés de 6 à 23 mois ont établi qu’aucune preuve que le vaccin contre la grippe n’était plus efficace qu’un placebo. En outre, les vaccins contre la grippe ne protègent que contre certaines souches du virus ce qui signifie que vous pouvez encore facilement attraper la grippe si vous entrez en contact avec une souche différente du virus.
6. Le vaccin vous rend plus sensible à la pneumonie et à d’autres maladies contagieuses.
Pour quelqu’un qui a un système immunitaire déjà affaibli, l’injection de souches du virus de la grippe peut avoir des conséquences dévastatrices. Si votre corps est déjà au travail pour lutter contre un virus ou qu’il fonctionne simplement avec une faible immunité, l’injection d’un vaccin pourrait l’exposer gravement à contracter la grippe avec des symptômes plus forts, ou encore pire la pneumonie et d’autres maladies contagieuses.
7. Troubles vasculaires
La recherche médicale montre que les vaccins contre la grippe sont associés à un risque accru d’inflammation vasculaire. Les symptômes comprennent notamment la fièvres, des douleurs de la mâchoire, des douleurs musculaires, des douleurs et des raideurs dans le cou, les bras, les épaules et les hanches et des maux de tête.
8. Les enfants de moins de 1 an courent un risque
Les enfants de moins de 1 an sont très vulnérables à une violation du centre nerveux sensible qui entoure le cerveau et le système nerveux central. Le premier vaccin contre la grippe est administré à l’âge de 6mois. Un enfant de moins de 1 manque de protection pour se prémunir contre une détérioration prématurée de la barrière hémato-encéphalique.
9. Risque accru de narcolepsie
Il y a eu des dizaines de cas signalés d’enfants dans 12 pays différents qui ont développé la narcolepsie (un trouble du sommeil chronique) après avoir reçu le vaccin contre la grippe. L’étude, qui eut lieu entre Octobre 2009 et Décembre 2011, a comparé 3,3 millions de Suédois vaccinés avec 2,5 millions de personnes qui n’ont pas été vaccinées. Le risque a été jugé plus élevé chez les plus jeunes qui se sont fait vacciner. Pour les moins de 21 ans, le risque de contracter la narcolepsie était trois fois plus élevé.
10. Il affaiblit les réactions immunologiques
Il ya eu des milliers d’articles de revues médicales qui ont publiées que les vaccins conduisent à des réactions immunologiques nocives et une foule d’autres infections. En outre, les réponses immunologiques affaiblissent et diminuent la capacité d’une personne à combattre les maladies que le vaccin était censé nous protéger.
11. Troubles neurologiques graves
Des preuves indiquent maintenant que les ingrédients qui sont dans les vaccins contre la grippe peuvent effectivement causer des troubles neurologiques graves. En 1976, un nombre important de ceux qui ont reçu le vaccin contre la grippe on eu le syndrome de Guillain-Barré (SGB), une affection caractérisée par des lésions nerveuses permanentes et même la paralysie. Les vaccins antigrippaux peuvent contenir de nombreux composants nocifs, y compris des détergents, du mercure, du formaldéhyde et des souches de virus vivant de la grippe.




3 soi-disant aliments "santé" que vous devez arrêter de consommer 
(si vous voulez un corps mince et en bonne santé) 

J’ai lu récemment une statistique dans un livre de nutrition qui risque de vous choquer…
Avant de vous donner les statistiques, gardons à l’esprit un fait important… d’après un auteur de renommée mondiale en nutrition Michael Pollan, et son fabuleux livre appelé "In Defense of Food",  l’humanité a toujours consommé environ 80 000 espèces différentes de plantes comestibles, d’animaux et de champignons, et environ 3 000 de ces aliments ont été généralisés dans l’alimentation humaine.
Maintenant, préparez-vous à une statistique choquante et révoltante…
Actuellement, la moyenne des adultes consomment environ 67% de leur apport calorique total à partir de seulement 3 aliments – le maïs, le soja et le blé (et leurs dérivés).
Quelles quantités de maïs, soja et blé pourraient être considérées comme raisonnablement saines dans l’alimentation des humains ? Si l’on se base sur 10 milliers d’années d’histoire de l’humanité et sur ce qu’a été l’alimentation naturelle de nos ancêtres (sachant que notre système digestif est toujours programmé dans ce processus), cela serait de l’ordre MAXIMUM de 1% à 5% de notre total calorique en maïs, soja et blé.
Considérant que les humains actuels mangent 67% de ce total calorique provenant de ces sources… Vous pouvez voir pour quelles raisons nous avons des problèmes de santé et de surpoids importants !
Ce n’est pas une surprise si nous avons autant d’intolérances et d’allergies, spécialement au soja et au blé (ainsi que l’intolérance au gluten)… le système digestif humain n’a simplement jamais été conçu pour consommer ces substances en quantités si MASSIVES.
Gardez à l’esprit que ces niveaux élevés de maïs, soja, et blé dans notre régime alimentaire d’humain sont un phénomène relativement nouveau résultat de la recherche de profits en milliards de dollars des industries du maïs, soja et blé. Tout EST une question d’argent… PAS notre santé !
Sont considérés comme "produits dérivés" du maïs, soja et du blé les additifs alimentaires tels que :
Le sirop de maïs riche en fructose (SMRF)
L’huile de maïs
L’huile de soja (hydrogénée ou raffinée)
La protéine de soja
La farine de blé raffinée
Des centaines d’autres additifs alimentaires tels que la maltodextrine, l’amidon de maïs ou de blé, la lécithine de soja, les mono et diglycérides, etc, etc
Cela ne me surprend pas… considérant la quantité de soda ou autres boissons sucrées (avec de SMRF) que boivent certaines personnes en moyenne tous les jours… C’est BEAUCOUP de calories provenant de seulement 1 seul dérivé du maïs. Même les vinaigrettes et autres sauces pour salades, le ketchup, les différents pains, et une 100ène d’autres aliments contiennent du SMRF !
Pensez également au nombre d’aliments transformés que nous avons et qui sont frits dans l’huile de soja ou de maïs… et même si les aliments ne sont pas frits dans ces huiles ce sont des additifs de presque tous les aliments transformés… les chips, les bonbons, les gâteaux, les vinaigrettes, les sauces tomates, les galettes de burritos, les chips de maïs, le poulet pané, etc, etc. Il s’agit de BEAUCOUP de calories provenant de ces 2 dérivatifs de maïs et de blé… tous les deux sont EXTREMEMENT MALSAINS !
En plus de cela, pensez à la façon dont beaucoup de pains, céréales, pâtes, gâteaux et autres produits dérivés du blé sont hautement transformés et que la plupart des gens consomment tous les jours. Encore une fois il s’agit d’un TAS de calories pauvres en nutriments, de substances malsaines, de stimulateurs de la glycémie, dont plus de la moitié de la population a un certain degré d’intolérance de toute façon.
Cela devient même pire !
Non seulement nous mangeons 67% de notre apport calorique total provenant du maïs, du soja et du blé… mais à cause de l’économie concernée (en particulier avec le maïs et le soja à bas prix), nous nous nourrissons aussi d’animaux élevés pour la plupart avec du maïs, du soja et du blé… augmentant de cette façon la quantité présente dans notre organisme.
Les 2 pires exemples de cette mauvaise gestion flagrante de notre approvisionnement alimentaire sont probablement la façon dont les poulets et les vaches d’élevages industriels sont nourris.
Les vaches sont nourries essentiellement de maïs dans les fermes d’engraissement même si leur système digestif est uniquement destiné à manger de l’herbe et autres fourrages. Cela rend les vaches malades, modifiant les acides gras oméga-6 et oméga-3 vers un niveau malsain, et diminue également les graisses saines CLA qui sont présentes naturellement dans les viandes bovines élevées en pâturage. Tous ces problèmes disparaissent si nos vaches sont nourries avec ce qu’elles sont supposées manger – de l’herbe !
Nos poulets sont également nourris de maïs et de soja pour la plupart et surpeuplés dans des enclos serrés, dans des conditions épouvantables… alors que les poulets sont destinés à errer en extérieur et manger un mélange de légumes verts, insectes, vers, graines, etc. Quand les poulets sont gardés à l’intérieur dans des cages serrées et nourris uniquement de grains cela produit une viande malsaine et des œufs moins sains à la consommation par rapport à des poulets élevés en liberté.
Mais cela ne s'arrête pas là...
Même les saumons et autres poissons d’élevage sont nourris avec du maïs et du soja… encore une fois dû à l’économie. Quelle stupidité étant donné que les poissons sont destinés à une alimentation diversifiée de petits poissons, vers, insectes, etc. Ceci rend une fois de plus l’élevage de ces poissons malsain par rapport à leurs homologues sauvages.
Ainsi, même lorsque vous mangez du poulet, du bœuf et du poisson, votre corps absorbe encore plus de maïs, de soja et de blé… sachant que les vaches, les poulets et les poissons d’élevage en ont consommé principalement.
C’est donc en fait PIRE que juste 67%, n’est-ce pas !
Pourquoi est-ce si malsain de consommer les 2/3 de nos calories provenant du maïs, du soja et du blé ?
Et bien, cette section pourrait inclure tout un livre, alors pour faire court je vais juste vous donner quelques raisons aléatoires…
Modifie le ratio d’acides gras oméga-6/oméga-3 dans notre alimentation à 30:1, lorsqu’un ratio de 1:1 à 2:1 est considéré comme sain. Ce déséquilibre provoque une inflammation massive dans votre corps, ce qui est une des principales causes de nombreuses maladies, le cancer et même la prise de poids.
Augmente les problèmes d’intolérance au gluten -- et liée à la consommation excessive de blé qui sévit de nos jours, combinée avec des protéines de gluten étrangères et formées à partir d'hybridation des cultures de blé.
Problèmes de prise de poids, de fluctuation de la glycémie, ainsi qu’une réduction de la sensibilité à l’insuline (et progressivement au diabète) dû à la consommation excessive de maïs et farines de blé, ainsi que de sirop de maïs. Remarque importante : l'amidon de blé (oui même le soi-disant "blé complet") est un type unique et problématique de glucide appelé amylopectine-A. Des tests ont démontré que l'amidon fait monter votre glycémie PLUS HAUT que du sucre de table... provoquant des déséquilibres hormonaux, des envies, un prédiabète et le gain de poids... Aïe !
Le soja et le maïs sont les cultures les plus génétiquement modifiées (plus de pesticides et herbicides sont utilisés et sont habituellement xénoestrogènes, provoquant la perturbation des hormones chez les femmes, des seins chez les hommes, et ce que l'on peut appeler de "la graisse tenace abdominale" pour les deux sexes).
Les produits de soja et les dérivés contiennent un double problème de xénoestrogènes ainsi que de phyto-oestrogènes… créant à nouveau un environnement favorable au stockage des graisses dans votre corps, des effets cancérigènes, et même la formation de "seins" chez l’homme dans des cas très graves.
Et la liste pourrait s’allonger encore et encore…

Par Mike Geary - Spécialiste de la nutrition certifié

Conclusion ? Mangez des fruits et des légumes locaux, de saison, frais, sains, bio ou issus de culture raisonnée…


Mangez-vous des pesticides ?
L'inquiétant effet cocktail des pesticides sur nos cellules

Ingérés ensemble, certains produits chimiques deviennent extrêmement nocifs pour la santé.

Manger cinq fruits et légumes par jour est bon pour la santé. Ce qui l'est moins, c'est le "cocktail" de pesticides ingéré par la même occasion : le mélange de ces substances chimiques peut démultiplier leurs effets toxiques dans des proportions aussi surprenantes qu'inquiétantes, selon les résultats d'une étude préliminaire publiée, vendredi 3 août, dans la revue scientifique "PloS One".

Les tests toxicologiques systématiques menés dans le cadre du règlement européen Reach ciblent les substances une par une. "On en sait très peu sur leurs effets combinés, alors que nous sommes littéralement entourés de combinaisons de poisons", explique l'auteur principal de l'étude, le toxicologue Michael Coleman, de l'Université d'Aston, en Angleterre.

Son équipe a comparé l'effet isolé et l'impact combiné sur des cellules de notre système nerveux central, de trois fongicides fréquemment rencontrés sur les étals des primeurs, le pyriméthanil, le cyprodinil et le fludioxonil.

Résultat : les dommages infligés aux cellules sont jusqu'à vingt ou trente fois plus sévères lorsque les pesticides sont associés. "Des substances réputées sans effet pour la reproduction humaine, non neurotoxiques et non cancérigènes ont, en combinaison, des effets insoupçonnés", résume l'un des auteurs de l'étude, le biologiste moléculaire Claude Reiss, ancien directeur de recherche au CNRS et président de l'association Antidote Europe.

"On observe l'aggravation de trois types d'impacts", détaille le chercheur français, "La viabilité des cellules est dégradée ; les mitochondries, véritables batteries des cellules, ne parviennent plus à les alimenter en énergie, ce qui déclenche l’apoptose, c'est-à-dire l'autodestruction des cellules ; enfin, les cellules sont soumises à un stress oxydatif très puissant, possiblement cancérigène et susceptible d'entraîner une cascade d'effet".

Parmi les conséquences possibles de telles agressions sur les cellules, les chercheurs citent le risque d'une vulnérabilité accrue à des maladies neurodégénératives comme Alzheimer, Parkinson ou la sclérose en plaques. "Notre étude porte sur un petit nombre de substances, elle apporte plus de questions que de réponses, mais ces effets ont été mis en évidence à des doses très faibles des concentrations proches de celles trouvées dans nos aliments", souligne le professeur Coleman.

Le scientifique estime urgent de généraliser ce type de tests, malgré les milliers de combinaisons possibles : "Cela permettrait de déterminer si les mélanges sont nocifs, pour aider les agriculteurs à choisir les produits qu'ils utilisent". Le fait de mener ces études sur des cellules humaines, et non sur des souris, comme c'est le cas dans la procédure Reach, permettrait de limiter les délais et les coûts, tout en rendant les résultats plus fiables. "La plupart des substances chimiques ne sont pas testées correctement : nous ne sommes pas de rats de 70 kg !" peste Claude Reiss.

Pour le Mouvement pour le Droit et le Respect des Générations Futures (MDRGF), qui a cofinancé l'étude, ces tests sont d'autant plus nécessaires qu'un tiers des fruits et légumes contrôlés par la Direction générale de la concurrence de la consommation et de la répresson des fraudes contiennent les résidus de plusieurs pesticides.

"En 2008, nous avions relevé sur une même grappe de raisin les trois produits testés par le professeur Coleman", rappelle François Veillerette, porte-parole du MDRGF. A l'époque, des analyses commandées par l'association avaient révélé que la quasi-totalité des raisins vendus en grande surface contenaient de multiples pesticides, totalisant huit substances différentes par grappe en moyenne.

L'association appelle la Commission Européenne à "lancer sans tarder une stratégie d'évaluation globale des mélanges de produits chimiques" et à "abaisser significativement les limites maximales de résidus tolérés dans les aliments, dans un souci élémentaire de précaution".
Le Monde, 8 août 2012

Fraise : des propriétés qu’on ne soupçonne pas !
Nous devons la fraise à Amédée François Frézier. Bien que ce fruit soit apparu à l'Antiquité, c'est cet ingénieur militaire, explorateur et navigateur qui découvrit (en 1714) la fraise telle que nous la connaissons aujourd'hui. C'est lors d'un de ses voyages en Chili, qu'il rapporta 5 plants de ce fruit blanc et gros. L'une de ces plantations donna naissance à la fraise.
En hiver, ce fruit appartenant à la famille des Rosacées est importé de l'hémisphère Sud ou d'Israël tandis qu'en mars, il vient d'Espagne.
La production de fraises françaises commence réellement en mai pour se terminer en novembre.
Il existe plus de 600 variétés de fraises ! Parmi les plus connues, nous avons : l'Anabelle (très sucrées), la Ciflorette (très parfumées), la Charlotte (avec une belle couleur de rouge), la mara des bois (goût proche de la fraise des bois) et la gariguette (petite mais savoureuse).
La fraise est fragile, une fois lavée, vous devez les consommer le jour même.
Ses Bienfaits :
·      Faible teneur calorique
La fraise est tout d'abord très peu calorique (30 kcal pour 100 g). C'est l'un des fruits les plus pauvres en calories. Sa teneur en sodium, en graisses et en protéines est aussi très faible.
·       Réduction des risques de problèmes de santé :comme tous les fruits et légumes, la fraise diminue le risque des maladies cardiovasculaires, des maladies chroniques, et de certains cancers.
·       Flavonoïdes : antioxydants qui servent à protéger l'organisme mais aussi à lutter contre les radicaux libres. Les flavonoïdes ont pour principale propriété de prévenir le cancer notamment celui de l'oesophage (selon une étude américaine datant de 2011).
·       Bêta-carotène : la couleur rouge de la fraise indique une richesse en bêta-carotène. Ce composé aide entre autres à préparer au bronzage, et à le prolonger.
·       Acide ellagique : bien que la framboise soit plus riche en acide ellagique, la fraise en contient aussi. L'acide ellagique appartient à la famille des polyphénols (le thé vert en contient aussi) et permet de prévenir les accumulations de gras dans les artères, et donc réduit le risque de développer des maladies cardiovasculaires.
·       Anti-cancer : la fraise contient de la quercétine, antioxydant qui permet aux cellules cancéreuses de se détruire elles-mêmes et de nombreux autres antioxydants notamment la lutéine et la zéaxanthine qui sont des désactivateurs de radicaux libres. Cela est bénéfique pour prévenir certains cancers.
·       Vitamine C : la fraise contient 2 fois plus de vitamine C que l'orange ou le citron (pour le même poids) !
Nous avons tous besoin de consommer de la vitamine C car c'est une vitamine qui ne peut pas être produite par notre organisme. Cette vitamine, aussi appelée acide ascorbique, est soluble dans l'eau et donc très vite éliminée dans les urines, ce qui permet le bon fonctionnement de notre organisme et stimule nos défenses immunitaires.
Il est donc recommandé aux personnes souffrant de goutte ou d'arthrite de consommer régulièrement ce fruit car elles pourront mieux évacuer l'excès d'acide urique de leur corps.
La vitamine C est également un excellent antioxydant qui a un rôle de protection contre le cancer de l'oesophage, du pancréas et de l'estomac.
Cette vitamine protège aussi contre l'exposition des rayons UV du soleil qui peuvent abîmer l'oeil. Donc grâce à sa forte dose, elle protègera les yeux !
Les experts préconisent de consommer 110 mg de vitamine C par jour. Sachez qu'à peine 175 g de fraises couvrent déjà ces besoins !
·       Fibres alimentaires: si vous rencontrez des problèmes au niveau du tube digestif, la fraise sera votre alliée.
Ce fruit est constitué de 2 sortes de fibres : les premières (pectines) sont des fibres solubles tandis que les secondes (lignines) sont des fibres insolubles. Elles ont toutes deux un rôle complémentaire: les fibres solubles servent à diminuer la glycémie après un repas et les fibres insolubles favorisent le transit intestinal et  jouent un rôle important contre la constipation.
·       Diabète : les fibres évoquées précédemment aident à combattre le diabète de type 2. Elles ralentissent l'absorption des sucres par le sang, donc les personnes souffrant de diabète peuvent consommer ce fruit rouge.
·       Santé prénatale : les médecins recommandent aux femmes enceintes de consommer des vitamines du complexe B, notamment le folate (vitamine B9) qui est favorable au développement du cerveau, du crâne et de la moelle épinière du bébé (quand il se trouve encore dans le ventre de la mère).
Or les fraises constituent une bonne source de vitamine B9. Elles sont donc favorables à la femme enceinte et au futur bébé.
·       Anti-caries : la fraise prévient la formation de caries grâce à sa teneur en xylitol.
·       Anti-inflammatoire : la fraise réduit l'inflammation des articulations et régularise la tension artérielle.
·       Régularise la pression artérielle par sa forte teneur en potassium, micronutriment favorisant la santé du cœur (153 mg par portion de 100).
LE BUIS,  à utiliser en interne comme en externe
L’action du buis est extraordinaire, aussi bien en usage interne qu’externe. Dans les très rares ouvrages de phytothérapie où l’on en fait mention, on indique, souvent assez vaguement qu’il « passe » pour avoir telle propriété, qu’il « posséderait » telle vertu. Ces réserves et ce conditionnel démontrent tout simplement que les auteurs de tels propos n’ont jamais tenté l’expérience du buis car leur prudence aurait fait place à une attitude autrement affirmative.
En interne, il donne des résultats remarquables dans les cas de fièvres intermittentes, d’angiocholite pourtant réfractaire à la quinine, une action de drainage sur les voies biliaires et intestinales, des propriétés cholagogues, fébrifuges, sudorifiques.

L’histoire raconte que durant la première guerre mondiale, le docteur H. Leclerc, alors qu’il était blessé, grelottant de fièvre, que sa blessure s’était infectée et qu’il n’y avait rien pour le soigner, avait demandé qu’on lui fasse bouillir une poignée de feuilles de buis dans un litre d’eau, décoction – à laquelle il trouva un affreux, et qu’il absorba dans le moins de temps possible, ce qui provoqua une abondante transpiration, et le sauva.
Voilà donc déjà une utilisation possible de buis, après ébullition prolongée (10 à 15 minutes) de 40 g de feuilles. Cela se boit en l’espace d’une heure à une heure et demie, et, avec le concours de couvertures, bouillottes, etc., la transpiration ne tarde pas à survenir.
En cas de grippe, refroidissement, infection quelconque, un résultat favorable est le plus souvent assuré.
Parfois, il suffit de prendre ce litre de décoction dans le courant de la journée, et de répéter cela une fois ou deux par semaine, tant que dure une infection interne (urinaire, génitale, intestinale, par exemple).
C’est également un actif antiparasitaire.
Le buis est l’ennemi numéro un des virus, mais présente aucune nocivité pour l’utilisateur.
En usage externe, il a été très souvent remarqué combien l’effet est plus spectaculaire encore. Cette même décoction pouvant servir au pansement d’ulcères et de toutes plaies infectées, le résultat apparaît très vite. On est généralement stupéfait, en retirant la compresse, de constater qu’il n’y a plus aucune trace de pus, que les tissus sont propres et nets, et que la cicatrisation apparaît d’autant plus rapidement que l’ont fait souvent alterner ces compresses avec des cataplasmes d’argiles.
En cas de maladie virale éruptive (zona, herpès, mycoses diverses, etc.), il faut, à la fois, boire de la décoction de buis et l’utiliser aussi en lotion, bains ou compresses.
Quand la localisation le permet (pied, coude, main), ne pas hésiter à compléter le traitement avec des bains tièdes de cette même décoction de feuilles de buis.
Raymond Dextreit (extraits de son livre sur l’argile)



QUELLE COURGE...!

Botaniquement parlant, la courge est un fruit, tout comme le concombre et la tomate. Cependant, toutes ses variétés sont consommées comme des légumes. Les Amérindiens consomment la courge depuis 10 000 ans déjà, et pour parvenir jusque chez nous, les courges ont dû faire un long voyage à partir du Mexique et du Guatemala!
La courge (en général) est riche en substances pouvant aider à prévenir les maladies liées au vieillissement .
Elle contient 90 % d'eau ce qui en fait un aliment peu calorique (20calories au 100g).
Les glucides ne dépassent pas 6 grammes et les lipides sont à l'état de traces.
Elle est très riche en fibres ce qui donne un effet de satiété lors de sa consommation et favorise le bon fonctionnement des intestins. L'action stimulante de ses fibres est accentuée par la présence de mannitol, un glucide complexe aux vertus légèrement laxatives. Ces fibres sont aussi une aide pour réguler le cholestérol.
Elle est gorgée de vitamine C. De plus, celle-ci se conservera très facilement  grâce à l'épaisseur de la peau. Cette courge contient d'ailleurs toutes les vitamines excepté la D et la B12.
Le pigment jaune orangé des courges est constitué pour plus de 80% de bétacarotène (provitamine A), aux propriétés vitaminiques et antioxydantes très précieuses. 250g de potiron permet de couvrir la totalité des besoins journaliers en cette vitamine.
La provitamine A joue  un rôle dans plusieurs fonctions de l’organisme. Elle collabore entre autres à la croissance des os et des dents. Elle maintient la peau en santé et protège contre les infections. De plus, elle possède des propriétés antioxydantes et favorise une bonne vision, particulièrement dans l’obscurité.
Les autres caroténoïdes contenus dans la courge sont la lutéine et la zéaxanthine, ces pigments s’accumulent dans la macula et la rétine de l’oeil, le protégeant ainsi du stress oxydatif qui pourrait lui causer des dommages. Un apport régulier en lutéine et en zéaxanthine est donc associé à un risque plus faible de dégénérescence maculaire et de cataracte, deux maladies de l’oeil.
La courge contient aussi des quantités non négligeables de bêta-cryptoxanthine et de plus petites quantités d’alpha-carotène. Tout comme les autres caroténoïdes, ces composés peuvent se transformer en vitamine A dans l’organisme.
Il est à noter que les caroténoïdes sont mieux absorbés dans l’organisme lorsqu’une petite quantité de lipides (gras) est consommée au même moment. Il est donc tout indiqué de consommer la courge avec quelques noix ou un filet d’huile, par exemple
Il faut savoir que la consommation d’aliments riches en caroténoïdes peut contribuer à réduire le développement de certains cancers, notamment le cancer du sein, le cancer du poumon et les maladies-cardiovasculaires.
La courge contient bon nombre de minéraux :
- Le potassium : excellent pour la régulation de la pression artérielle. La faible teneur des courges en sel les recommande d'ailleurs pour les régimes désodées. Dans l’organisme le potassium sert aussi à équilibrer le pH du sang et à stimuler la production d’acide chlorhydrique par l’estomac, favorisant ainsi la digestion. De plus, il facilite la contraction des muscles, incluant le coeur, et il participe à la transmission de l’influx nerveux.
- Le phosphore : il  constitue le deuxième minéral le plus abondant de l’organisme après le calcium. Il joue un rôle essentiel dans la formation et le maintien de la santé des os et des dents. Il participe, entre autres, à la croissance et à la régénérescence des tissus et aide à maintenir à la normale le pH du sang. Finalement, le phosphore est l’un des constituants des membranes cellulaires.
- Le cuivre
: en tant que constituant de plusieurs enzymes, le cuivre est nécessaire à la formation de l’hémoglobine et du collagène (protéine servant à la structure et à la réparation des tissus) dans l’organisme. Plusieurs enzymes contenant du cuivre contribuent également à la défense du corps contre les radicaux libres.
- Le manganèse : il agit comme cofacteur de plusieurs enzymes qui facilitent une douzaine de différents processus métaboliques. Il participe également à la prévention des dommages causés par les radicaux libres. 

LES EFFETS DE LA VIANDE ROUGE


Viande rouge : plus de maladies intestinales
Les maladies intestinales (cancers digestifs, maladies inflammatoires intestinales, diverticulose colique...) ont beaucoup augmenté au 20e siècle. La cause principale est très probablement l'augmentation de la consommation de viande rouge de mauvaise qualité : charcuterie, viande d'élevages industriels.
Luxe jusqu'en 1945, où l'on n'en mangeait pas plus de deux fois par semaine, la viande est aujourd'hui omniprésente dans nos assiettes. Au restaurant, on ne se pose pratiquement pas la question : à part quand on mange du poisson, il y a toujours de la viande. Les personnes qui choisissent un plat de légumes sont regardées bizarrement.
Pourtant, les statistiques sont évidentes : dans tous les pays du monde où la consommation de viande rouge augmente, les maladies digestives augmentent.

Cancer du côlon
Partout où la consommation de bœuf augmente, le cancer du côlon se développe.
L'explication possible est que la viande de bœuf contient des virus qui résistent à la cuisson. Or, lorsque vous faites cuire votre viande de bœuf, des nitrosamines cancérogènes apparaissent. Les virus bovins attaqueraient la paroi de vos intestins, créant ainsi des infections prêtes à se cancériser sous l'effet des nitrosamines.
Il faut noter en effet que la cuisson du poulet et du poisson fait aussi apparaître des nitrosamines cancérogènes, mais que leur consommation n'augmente pas le risque de cancer du côlon. Cela s'expliquerait par l'absence de virus attaquant la paroi des intestins, dans ces viandes.
Une autre cause de cancer pourrait être le fer héminique contenu dans la viande rouge, donc celle du bœuf mais aussi le veau, l'agneau, le porc, le canard, l'oie, le lapin, le cheval et les abats.  Le fer oxyde les cellules, l'ADN, les lipides et les protéines intracellulaires, ce qui à la longue semble favoriser l'émergence de cancers.
Selon une étude réalisée sur 88 751 femmes, manger de la viande de bœuf, de porc ou d'agneau en moyenne une fois par jour multiplie par 2,49 le risque de cancer du côlon, par rapport aux femmes consommant ces viandes moins d'une fois par mois.

Autres maladies intestinales provoquées par l'excès de viande
La maladie de Crohn est favorisée par la consommation de viande. La viande n'est en effet pas totalement absorbée dans l'intestin grêle (première partie des intestins, après l'estomac), elle passe dans le côlon où elle va fermenter sous l'effet des bactéries de la flore intestinale. Cette fermentation produit des dérivés toxiques qui attaquent la muqueuse de l'intestin. Cela peut provoquer des saignements, diarrhées et douleurs abdominales pénibles caractéristiques de la maladie de Crohn.
Le côlon, qui est donc la deuxième partie de l'intestin, où la nourriture achève d'être dégradée par la flore intestinale, peut aussi, sous l'effet de la viande, développer de petites poches où les matières fécales se bloquent. Comme vous pouvez l'imaginer, ce n'est pas très propre et cela provoque des infections, voire une perforation dans l'abdomen (péritonite). Cette maladie, appelée diverticulose colique, est typique de l'alimentation occidentale riche en viande, et bien moins répandue chez les végétariens.
La viande augmente le risque d'endométriose chez les femmes (présence de tissu endométrial à l'extérieur de l'utérus). Une étude datant de 2004 a prouvé que les femmes qui consomment le plus de viandes rouges avaient deux fois plus de risques d’avoir une endométriose.
Une consommation quotidienne de 100 g par jour augmente d’environ 20% les risques de déclencher un diabète de type 2.
D'autres maladies telles que les maladies cardiovasculaires, les cancers de l'estomac, de la vessie et la maladie d'Alzheimer seraient favorisées par la viande.

De quoi est faite la viande que vous mangez ??
Il faut toutefois se garder de diaboliser un aliment qui fait partie depuis les plus lointaines origines, de l'alimentation de l'homme.
Le problème de la viande pourrait en fait largement être causé par la qualité déplorable de la viande que nous consommons aujourd'hui.
Pour augmenter la productivité des élevages, les animaux sont aujourd'hui nourris au maïs, aux grains, aux farines animales, souvent encore enrichis d'additifs. Les animaux, on le sait, vivent dans une surpopulation souvent impensable, et sont abattus dans des conditions si horribles que l'ancien Beatles Paul McCartney a pu déclarer : « Si les abattoirs avaient des murs en verre, tout le monde serait végétarien ».
Nous sommes très loin du brave troupeau broutant l'herbe verte et les pâquerettes de pâturages verdoyants, qui sont les conditions de vie naturelles des bovins, et cela pourrait largement expliquer les effets délétères de la consommation de viande sur notre santé.
Pour l'ensemble de ces raisons, et d'autres encore qui tiennent à la protection de l'environnement, Jérémy Anso du site de nutrition « Dur à Avaler » recommande fortement de ne pas dépasser 300 grammes de viande par semaine, ce qui équivaut à deux steaks hachés ou une grosse portion au restaurant.

Jean-Marc Dupuis


Cowspiracy, le documentaire choc, 
présente sans fard les vrais chiffres de la viande
Si l’impact de la viande ne fait pas de doute depuis des années dans les chiffres, ceux-ci restent encore trop confidentiels, malgré leur caractère public. C’est ce qu’ont voulu dénoncé les auteurs d’un documentaire choc, Cowspiracy, produit par Leonardo DiCaprio.
Saviez-vous que la fracture hydraulique nécessite 378 millions de litres d’eau par an ? Eh bien l’industrie de la viande utilise 129.000 milliards de litres d’eau par an. Ainsi, comme le documentaire Cowspiracy : The Sustainability Secret le précise, pour produire un burger il faut plus de 2.000 litres d’eau, soit deux mois de douches. Ainsi, 5 % de l’eau utilisée aux Etats-Unis l’est utilisée pour un usage domestique, contre 55 % pour l’élevage.
Des chiffres effarants
Pour produire un kilogramme de boeuf, il faut 20.000 litres d’eau, contre près de 4.000 litres pour un oeuf, ou 7.000 litres pour un kilo de fromage. Cette industrie est plus polluante que tout le secteur des transports aux Etats-Unis. Les déchets sont même 130 fois plus importants que les déchets humains.
Le secteur utilise 33 % des ressources terrestres en eau, 45 % des terres et est responsable de 91 % de la destruction de la forêt amazonienne. Quand l’huile de palme est responsable de la destruction de 104  millions de mètres carrés, l’élevage conduit à la destruction de 544 millions de mètres carrés de forêt.
Autre élement : l’élevage industriel est tel que le terrain occupé n’est pas le même que si le boeuf était élevé dans l’herbe. Si le boeuf était élevé en pâturage, il faudrait 3,7 millions de kilomètres carrés de terrain herbeux pour l’élever quand aux Etats-Unis il y en a 1,9 million.
Du côté des poissons, ce n’est guère mieux, puisque 2.700 milliards de poissons sont pris chaque année. Pour un kilogramme de poisson pêché dans les océans, on pêche en réalité 5 kg de poissons qui ne seront pas conservés, notamment à cause de la pêche en eaux profondes. C’est ainsi que près de 50 millions de requins sont pris dans les filets chaque année.
Le documentaire rappelle aussi que la nourriture produite est suffisante pour 12 à 15 milliards de personnes et, quand la planète en compte 7, un milliard de personnes ont faim. 50 % des ressources en céréales et en légumes sont destinées à l’élevage. 1,5 milliard de vaches utilisent 170 milliards de litres d’eau, 61 milliards de kilos de nourriture, contre 20 milliards de litres d’eau et 9,5 milliards de kilos de nourriture pour les humains.
La viande tue la planète
Le parti pris du documentaire est très clair : dénoncer le fait que l’élevage industriel tue la planète, le titre étant un mot-valise constitué de « cow » (« vache ») et « conspiracy » (« conspiration »). Il s’appuie sur un rapport très officiel, des Nations-Unies, qui prouve que l’élevage est en réalité la première cause de problèmes environnementaux, devant même les transports ou l’industrie pétrolière.
Produit par Leonardo DiCaprio, le documentaire a été réalisé par deux jeunes activistes de San Francisco, Kip Andersen et Keegan Kuhn et il est d’ores et déjà disponible en DVD et VOD. Il sera projeté le 2 décembre au Parlement européen, en introduction d’un débat sur le poids des lobbies.
Source consoglobe 



Le radis noir, meilleur ami de votre foie, mais pas seulement !

Le radis noir est une plante appartenant à la famille des crucifères. Cultivé par les égyptiens durant l'époque des pharaons, le radis noir constituait alors une monnaie d'échange. C'est sans doute ainsi qu'il est parvenu jusqu'en Chine où ses vertus médicinales ont rapidement été remarquées. Cependant, le radis noir n a fait son apparition en France qu'au XVIIIème siècle.
Antiseptique, diurétique, cholérétique et fortifiant,  très utilisé en phytothérapie, il possède de nombreuses vertus thérapeutiques. Surtout réputé pour son action détoxifiante pour le foie, ses bienfaits ne s’arrêtent pas là ! Voici 7 bonnes raisons de consommer du radis noir.

Un antibactérien naturel
Le radis noir contient de grandes quantités d’isothiocyanates, des composés qui possèdent des propriétés antibactériennes et insecticides. Il contient également de la raphanine, une substance reconnue pour son action antiseptique et antibactérienne.
 Il contient du potassium, essentiel au bon fonctionnement des muscles et notamment du cœur.

Des propriétés antioxydantes
Il est très riche en vitamine C, dont l’action antioxydante permet de lutter contre les infections et les radicaux libres. Celle-ci lui confère également un pouvoir fortifiant qui renforce le système immunitaire.

Des bienfaits pour la digestion
Le radis noir soulage les troubles digestifs. Légèrement laxatif, il est recommandé aux personnes souffrant de constipation. De plus, sa richesse en eau fait de lui un diurétique efficace.

Le meilleur ami du foie !
Le radis noir est un puissant détoxifiant du foie. Il contribue à drainer le foie et il favorise la production de bile, permettant une meilleure élimination des toxines.

Des bons glucides !
Avec une teneur de 60 calories pour 100g, le radis noir est l’un des légumes les plus caloriques. En cause, sa richesse en glucides. Ces glucides sont essentiellement des glucosinolates, des puissants antioxydants qui agissent contre le vieillissement des cellules et qui peuvent empêcher la prolifération des cellules cancéreuses.

Un remède contre la toux
Le radis noir est un antitussif et un expectorant naturel. Il peut être utilisé pour lutter contre la toux, l’asthme et la bronchite. Le radis noir permet également d'élaborer un sirop antitussif, en le laissant simplement macérer avec du sucre de canne. Le jus de radis noir est également utilisé en application cutanée pour calmer les érythèmes et les coups de soleil.


Une plante médicinale incontournable !
En phytothérapie, on utilise le jus de sa racine à des fins médicinales. On trouve également dans le commerce des extraits présentés sous la forme d’ampoules. Le jus de radis noir agit sur le foie et la vésicule biliaire. Il permettrait notamment de traiter la dyspepsie causée par une mauvaise circulation biliaire.


 LES DATTES: un doux plaisir



Les dattes sont abondantes en fibres qui sont essentielles pour une bonne digestion.
Leur teneur élevée en sucre naturel est ce qui fait des dattes une excellente alternative au sucre ordinaire. En plus d’être facilement métabolisées, elles sont aussi rassasiantes et satisfont la faim. Riches en nutriments, les dattes sont un excellent choix de fruits pour les enfants et les adultes. De plus, les dattes sont extrêmement bénéfiques pour le traitement de diverses conditions et maladies telles que l’anémie, le taux élevé de cholestérol, et même le cancer.
Riches en fer
Les dattes sont très efficaces dans le traitement de l’anémie parce qu’elles sont une riche source de fer. 100 g de dattes contiennent environ 0,90 g de fer, ce qui représente environ 11% de l’apport quotidien recommandé. Et, le fer joue un rôle essentiel dans le transfert de l’oxygène dans le sang. Généralement, les adolescents et les femmes enceintes sont les groupes qui ont besoin de plus de fer.
Abondantes en vitamines oculaires
En raison du fait que les dattes contiennent de la lutéine et de la zéaxantine, elles sont souvent désignées comme des « vitamines oculaires ». La lutéine et la zéaxantine sont connues pour être très bénéfiques pour la rétine et la macula de l’oeil, car elles améliorent la vue et préviennent tout dommage possible de la macula, qui se détériore avec l’âge. Si vous voulez améliorer votre vue, vous devriez manger plus de dattes.
Traitent la diarrhée
En outre, les dattes contiennent du calcium, un minéral important pour le traitement de la diarrhée. De plus, les dattes peuvent faire des merveilles pour le renouvellement de la flore intestinale. La consommation régulière de dattes stimule la prolifération des bonnes bactéries dans les intestins.
Réduisent la constipation
Tout comme les dattes peuvent aider à lutter contre la diarrhée, elles stimulent aussi une bonne digestion et éliminent les toxines du corps. Si vous souffrez de constipation, vous devriez laisser quelques dattes dans un verre d’eau pendant la nuit. Pendant la nuit, les dattes vont libérer leur jus qui est un excellent laxatif, et favoriseront la fonction intestinale. Et ce n’est pas tout; les dattes stimulent également le métabolisme, car elles ont une teneur élevée en fibres – 100 g de dattes contiennent 8.5 g de fibres.
Facilitent l’accouchement
Selon une expérience menée à l’université des sciences et de la technologie de Jordanie, la consommation régulière de dattes à partir de 4 semaines avant la date d’échéance peut soulager la douleur et réduire le saignement. L’étude a montré que les femmes qui consommaient des dattes ont eu un accouchement beaucoup plus facile par rapport aux femmes qui ne mangent pas de ce fruit. En outre, les dattes aident les femmes à surmonter la dépression post-partum plus facilement et produisent suffisamment de lait pour le bébé.
Régulent le poids
Les dattes donnent une sensation de satiété et stimulent réellement la perte de poids en raison des nombreux éléments nutritifs qu’elles contiennent. Manger une date sur un estomac vide ne va pas seulement réguler le travail des vos intestins, mais aussi votre taux de sucre dans le sang. Mais, ayez à l’esprit que, même si les dattes ne contiennent pas de cholestérol, elle contiennent beaucoup de sucre, donc une consommation excessive conduirait à un gain de poids à la place (1 kg de dattes contiennent 3000 calories).
Renforcent le coeur
Les dattes se sont également montrées être bénéfiques pour les maladies cardiaques donc les gens ayant le cœur fragile sont invités à consommer des dattes sur une base régulière. Laissez quelques dattes dans un verre d’eau pendant la nuit. Dans la matinée, mixez les dattes et l’eau. Vous pouvez en boire plusieurs fois pendant la journée.
Réduisent l’hypertension
Bien que les dattes contiennent un peu de sodium, elles sont très abondantes en calcium. Une portion de 5-6 dattes contient près de 80 mg de magnésium, un minéral essentiel pour la dilatation des vaisseaux sanguins. Selon les recherches, 370 mg de magnésium par jour peut réduire efficacement la pression artérielle.
Prévention de l’AVC
Grâce à sa haute teneur en potassium, ce fruit étonnant est bénéfique pour conserver un système nerveux sain. Selon les études, le risque d’AVC peut être réduit jusqu’à 40% avec une consommation suffisante de potassium (environ 400 mg par jour).
Aliment pour le cerveau
De plus, les dattes contiennent du phosphore, ce qui est excellent pour le cerveau.
Parfait stimulant
Pour stimuler l’énergie de façon optimale, combinez des dattes et des amandes car cela va vous aider à obtenir le montant maximum des sucres naturels que ce fruit contient (y compris le glucose, le saccharose et le fructose).
Augmentent la libido
Pour une libido accrue, faites tremper quelques dattes dans un peu de lait d’amande et laissez-les toute la nuit. Dans la matinée, mixez les fruits et le lait d’amande, ajoutez du miel et de la cardamome (épice) et buvez cette boisson. Cette combinaison est toute aussi positive pour les hommes que pour les femmes, car elle renforce le corps et augmente le niveau d’énergie.
 

L'alimentation crue: un mode de guérison?



Une femme vient à bout de 17 années de douleurs causées par la fibromyalgie grâce à l'alimentation crue:

 A une époque, Stacy Stowers a essayé de combattre sa fibromyalgie invalidante ainsi que les douleurs chroniques en prenant tous les jours du café, des somnifères et de l’alcool. « Je ne pouvais pas me lever du lit ni m’habiller », dit Stacy Stowers. « Finalement, mes dents ont commencé à tomber ». Elle a vécu avec tant de douleurs et a eu eu un mode de vie si malsain pendant près de 20 ans.

Aujourd’hui, Stacy Stowers est une femme dynamique. Elle a vaincu les douleurs et est en bonne santé depuis 2007.

Son secret? Les aliments crus.

Elle a commencé l’alimentation crue en 2007 et dit qu’au bout de 10 jours, elle n’en revenait pas de se sentir aussi bien, elle pouvait se lever de son lit. Et maintenant, elle diffuse ses connaissances sur la puissance de l’alimentation crue et est l’auteur du livre Eat Raw, Not Cooked (Mangez Cru, Pas Cuit).

Les pouvoirs de guérison de l’alimentation crue

« Il y a deux raisons fondamentales pour lesquelles l’alimentation crue guérit », dit-elle. « La première concerne les enzymes vivantes. Notre corps a toutes les enzymes métaboliques qui préservent notre jeunesse, et les enzymes digestives que l’on trouve dans les aliments naturels et crus. Lorsque nous tuons les enzymes digestives naturelles avec la cuisson (à partir de 40°C), nos enzymes métaboliques qui nous guérissent et préservent notre peau saine doivent abandonner ce qu’elles faisaient pour se consacrer au processus digestif.

Elle explique que l’autre raison pour laquelle les aliments crus nous soignent est leur capacité à maintenir l’équilibre acido-basique; un corps en acidose est criblé des effets nocifs des mauvais aliments, ainsi que du stress et de la pollution constants. Les aliments crus rendent le corps plus alcalin.

Briser les mythes de l’alimentation crue

Elle démonte aussi l’idée reçue de nombreux opposants ou même de nouveaux arrivants dans l’alimentation crue selon laquelle les choix n’offrent pas une variété nutritionnelle suffisante. De toute évidence, elle a suffisamment d’arguments pour faire taire cette idée reçue, tout comme l’enthousiaste de l’alimentation crue David Wolfe.

Wolfe dit, « Vous ne devriez pas manger des aliments qui vous font vous sentir mal. C’est ce qui est formidable avec la nourriture crue. C’est vrai que tout le monde ne peut pas manger d’énormes quantités de laitue ou de chou, mais si vous considérez tout ce qui existe, toutes ces différentes catégories d’aliments, les noix et les graines, les algues, l’herbe de blé, les superaliments, les choux de Bruxelles, et le kimchi et la choucroute – c’est juste incroyable les choix qui se présentent à nous. »

Un autre mythe au sujet de la nourriture crue c’est qu’elle doit toujours se consommer froide. Les aliments crus peuvent être « réchauffés » en les servant à la température ambiante et en ajoutant des épices qui « réchauffent » comme le gingembre et même en les chauffant à une température inférieure à 48°C.

D’autres combattent l’idée que les aliments crus sont chers, faisant valoir que la malbouffe et la viande sont chers également. Ils soulignent que les repas crus bien planifiés peuvent convenir à une variété de budgets.

Stacy Stowers a l’intention de maintenir ce mode de vie. « La seule chose dont je souffrais était les muscles du sourire, car je ne pouvais pas m’arrêter de sourire », dit-elle. « La vie m’a été rendue après 17 ans de souffrances ».
Source: Santé Nutrition

Et la pêche, vous y avez pensé?

Avec seulement 40 kcal pour 100 g, la pêche a un apport énergétique modéré, un fruit moyen ne fournissant pas plus de 56 kcal. Inutile alors de se priver de son pouvoir désaltérant et réhydratant, dû aux 87 % d'eau qu'elle renferme.


De plus, elle contribue à la reminéralisation de l'organisme. Très riche en potassium (200 mg/100 g), en phosphore et en magnésium, elle est idéale pour faire le plein de ces nutriments qui peuvent vite nous faire défaut.

Mais c'est surtout une excellente source de provitamine A : 100 g de pêche jaune couvre en effet la moitié de nos besoins journaliers (les pêches blanches, elles, en sont moins bien pourvues). Pour un cocktail débordant de ce précieux antioxydant, vous pouvez préparer par exemple une salade mélangeant des pêches blanches, jaunes et des fraises.


Son bel apport en vitamine C (7 mg/100 g) est d'autant plus intéressant qu'il est associé à une forte présence de pigments flavonoïdes, qui favorisent son assimilation. Plus une pêche est colorée, plus elle en contient, notamment autour du noyau. Ceux-ci n'ont aucune incidence sur le goût mais ils contribuent au bon fonctionnement du système cardio-vasculaire.

Enfin, grâce à ses fibres abondantes (2 g/100 g) et très tendres, la pêche stimule tout en douceur les intestins paresseux et fragiles. Elle est si douce que l'on peut l'inclure dans l'alimentation des tout-petits dès cinq ou six mois, réduite en purée ou en compote.

L'été, pensez-à manger de la pastèque!

On est en pleine saison de la pastèque. On en trouve, préparée en grosses tranches chez tous les marchands de fruits et légumes et elle n’est pas chère. Ne vous en privez pas : la pastèque est pleine de bienfaits. 
Elle contient plus de 90% d’eau : la pastèque est un fruit les plus désaltérant qui soit et en ces temps de chaleur, c’est appréciable. En croquer un bon morceau de 200 g, ça change du grand verre d’eau et ça vous en apporte autant.
Mais elle vous apporte en même temps une bonne dose de carotènes : 260 microgrammes au minimum pour 100 g. Plus elle est colorée, plus elle en contient.
Dans ces carotènes qui sont des antioxydants puissants, excellents pour protéger vos artères et votre peau, il y a surtout du lycopène qui est particulièrement protecteur. Une portion de 125 ml (1/2 tasse) de pastèque contient environ 3,5 mg de lycopène, soit approximativement la même quantité qu’une tomate moyenne, reconnue comme une source importante de lycopène.
Citrulline et arginine
La pastèque est l’un des aliments les plus riches en citrulline, un acide aminé. Dans le corps humain, la citrulline est convertie en arginine (un acide aminé essentiel), qui joue un rôle sur les systèmes cardiovasculaire et immunitaire et qui aurait des effets bénéfiques sur la santé des vaisseaux sanguins. Les pastèques à chair orangée ou jaune en contiennent généralement plus que celles à chair rouge25. Selon une étude, la consommation quotidienne de jus de pastèque permettrait d’augmenter les taux d’arginine dans le plasma sanguin chez l’humain.
Par ailleurs, 250 ml (1 tasse) de pastèque - ce qui équivaut à 2 portions, selon le Guide alimentaire canadien - sont une bonne source de vitamine VC ainsi que de magnésium, de cuivre, de vitamine A, de vitamine B5 (acide pantothénique) et de vitamine B6 (pyridoxine).
Pour la préparer ? Mettez de la pastèque dans vos salades de fruits et préparez-la aussi en sorbet. Rien de plus facile : vous la coupez en petits morceaux, vous les congelez et juste avant de servir, vous les mixez avec éventuellement un peu de sucre. Nul besoin de sorbetière.
Ou bien faites un délicieux jus de fruit en la passant au mixer avec quelques morceaux de gingembre frais… Idéal pour l’été !



ET SI ON METTAIT FIN A L'ELEVAGE INTENSIF?
L'élevage intensif constitue le plus aberrant système de contre-productivité économique et alimentaire que l'on puisse imaginer. En effet, la production animale n’a rien d’une activité marginale : fondée au tout début du XXe siècle aux États-Unis sur le modèle productiviste de l’industrie automobile, elle représentait, en 2009, 40 % de la production agricole mondiale ! et le bétail mondial à lui seul mobilise dans le même temps une quantité de nourriture équivalente au besoin calorique de 8,7 milliards d’humains, nous sommes 7 milliards aujourd'hui.
L’heure est donc venue, pour les carnivores invétérés, de reconsidérer sérieusement leur plat du jour en alternant riz complet, lentilles et cuisse de poulet... Un menu plus équilibré leur serait profitable, et profiterait d’ailleurs aussi à tous. Parce qu’à n’en pas douter, de ces pavés charolais quotidiens dépend l’avenir des futures générations...

Pour ceux qui veulent aller plus loin, voici un lien bien documenté avec sources à l'appui, sans préjugés ni débat stérile opposant végétariens et mangeurs de viande.

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Le chef français Ducasse fait la révolution: il retire la viande de son menu
 Le chef français Alain Ducasse a décidé de supprimer la viande de la carte du restaurant du palace Plaza Athénée qui vient de rouvrir à Paris, jonglant avec les tendances végétariennes dans son menu "jardin-marin".
"La planète a des ressources rares, il faut la consommer plus éthiquement, plus équitablement", explique Alain Ducasse à l'AFP.
Le chef surmédiatisé, qui prône la diminution des protéines animales depuis longtemps, ne parle plus que de "naturalité", un mot qu'il a découvert récemment et qui reflète le virage radical pris par le nouveau Plaza.
Finie donc la viande, bienvenue pêche de ligne durable, céréales "bio, autant que faire se peut", légumes "du jardin de la Reine" cultivés au Château de Versailles.

Riz noir cuit au four avec coquillages, calamars et poulpes, baudroie (lotte) de Méditerranée et boulghour en tajine, quinoa cultivé en Anjou racines et coquillages: le chef mise sur la rusticité des graines et des céréales alliées aux saveurs marines. Mais le menu conserve son prix palace: 380 euros hors boisson.
Pour celui qui se dit "l'interprète de l'air du temps", "plus le produit est modeste, plus il faut lui donner de l'attention".
Pour une sardine débarrassée de ses chairs, arête et tête frites, croustillante, il décrit un travail "au scalpel" pour faire du poisson "un portefeuille ouvert" : "c'est moins facile que de trancher le turbot (un poisson plus coûteux, ndlr). Là, il y a 15% de sardine, et 85% de travail".

Authenticité et communion avec la nature, le restaurant a relégué les nappes au placard: chêne et cuir sur et sous les tables. Finis les couteaux à poisson remplacés par des couteaux à viande qui n'écrasent pas la chair du bar ou du turbot.
Côté vins, le sommelier Laurent Roucayrol prévient : "Il ne faut pas avoir peur du vin rouge avec le poisson" pour accompagner le terre-mer "lentilles vertes du Puy, caviar doré, gelée d'anguille".
Moins de gras, moins de sucre
Peu de beurre ni de crème, juste les sucs de légumes "quand la grande influence mondiale est au sucre, au gras, au frit". "J'ai voulu alléger, insiste le chef, mon obsession c'est d'enlever le sucre".
Les desserts du chef pâtissier Michaël Bartocetti reflètent ce parti pris. A l'image du citron de Menton et algues Kombu à l'estragon: entre les écorces confites, les amandes fraîches, la gelée et les algues, le client peut être déstabilisé par ce plat fort en acidité et amertume.
Même intensité pour les desserts au chocolat, au goût prononcé en cacao. "On nous demande de la crème ou du caramel avec le chocolat... non, on ne va pas céder, maintient-il, sinon on est dans la globalisation. On mange tous le même gras, le même sucré".
Un virage qui ne rompt toutefois pas avec le luxe du Plaza Athénée - le client est accueilli par un jus d'herbes-vodka versé sur un glaçon taillé en diamant servi dans un verre en cristal. Bling bling ? "Non, se défend Alain Ducasse, mais on n'est pas là pour faire simple, le travers du simple c'est du simplisme".
Palace parisien centenaire fermé depuis octobre pour rénovation, le Plaza Athénée a partiellement rouvert le 1er août et n'ouvrira en intégralité qu'aux alentours de la mi-septembre en raison d'un retard dans les travaux.
La salle entièrement redécorée, avec effets de miroirs, a gardé sa splendeur et son opulence. Elle accueille désormais un cabinet de curiosités: pièces d'orfèvrerie, cristallerie, objets en cuivre de la collection personnelle du chef brillent en transparence derrière une vitrine éclairée.
A sa fermeture, le restaurant du Plaza était un trois étoiles: il lui faut désormais les reconquérir. "C'est mieux avec", sourit le chef. Verdict du guide gastronomique Michelin attendu début 2015.
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ENVIE D'UNE TARTE AUX CERISES...?

Voici la liste des produits chimiques utilisés pour la fabrication d’une tarte aux cerises de supermarché, depuis le champ de blé jusqu’à l’usine agroalimentaire.
Histoire de la Pâte...
Pour obtenir la farine, les grains de blé ont été enrobés d’un fongicide avant semis. Pendant sa culture, le blé a reçu de 2 à 6 traitements de pesticides selon les années, 1 traitement aux hormones pour raccourcir les tiges afin d’éviter la verse et 1 dose importante d’engrais: 240 kg d’azote, 100 kg  de phosphore et 100 kg de potassium à l’hectare, tout de même !
Le blé moissonné, dans le silo, après récolte, les grains sont fumigés au tétrachlorure de carbone et au bisulfide de carbone, puis arrosés au chlopyriphosméthyl. Pour la mouture, la farine reçoit du chlorure de nitrosyl, puis de l’acide ascorbique, de la farine de fève, du gluten et de l’amylase.
Ensuite, il faut faire lever la pâte. La poudre levante est traitée au silicate de calcium et l’amidon est blanchi au permanganate de potassium. Pas de pâte sans corps gras. Ceux-ci reçoivent un antioxydant (pour éviter le rancissement) comme l’hydroxytoluène de butyl et un émulsifiant type lécithine.
Histoire de la Crème
La crème sur laquelle vont reposer les cerises se fait avec des oeufs, du  lait, et même de l’huile.
* Les œufs proviennent d’un élevage industriel où les poules sont  nourries avec des granulés contenant des:
- antioxydants (E300 à E311),
- arômes,
- émulsifiants: alginate de calcium,
- conservateurs : acide formique,
- colorants : capsanthéine,
- agents liants: lignosulfate
- et enfin des appétants : glutamate de sodium, pour qu’elles puissent  avaler tout ça.
Elles reçoivent aussi des antibiotiques, bien entendu, et surtout des anticoccidiens. Les œufs, avant séchage, reçoivent des émulsifiants, des agents actifs de surface comme l’acide cholique et une enzyme pour retirer le sucre du blanc.
* Le lait provient d’un élevage industriel où les vaches reçoivent une alimentation riche en produits chimiques :
- antibiotiques : flavophospholipol (F712) ou monensin-sodium (F714)
- antioxydants : ascorbate de sodium (F301), alphatocophérol de synthèse
(F307), buthyl-hydrox-toluène (F321) ou éthoxyquine (E324),
- émulsifiants : alginate de propylène-glycol (F405) ou polyéthylène  glycol
(F496),
- conservateurs : acide acétique, acide tartrique (E334), acide  propionique
(F280) et ses dérivés (F281 à E284),
- composés azotés chimiques : urée (F801) ou diurédo-isobutane (F803),
- agents liants : stéarate de sodium,
- colorants : F131 ou F142
- et enfin des appétants pour que les vaches puissent manger tout ça,  comme le glutamate de sodium.
* Les huiles, quant à elles, ont été :
- extraites par des solvants comme l’acétone,
- puis raffinées par action de l’acide sulfurique,
- puis lavage à chaud,
- neutralisées à la lessive de soude,
- décolorées au bioxyde de chlore ou au bichromate de potassium
- et désodorisées à 160°C avec du chlorure de zinc.
- Enfin, elles ont été recolorées à la curcumine.
La crème de la tarte, une fois fabriquée, reçoit des arômes et des  stabilisants comme l’acide alginique (E400).
Histoire des Cerises
Les cerisiers ont reçu pendant la saison entre 10 et 40 traitements de pesticides selon les années.
* Les cerises sont :
- décolorées à l’anhydride sulfureux
- et recolorées de façon uniforme à l’acide carminique ou à l’érythrosine.
- Elles sont plongées dans une saumure contenant du sulfate d’aluminium
- et à la sortie, reçoivent un conservateur comme le sorbate de potassium (E202).
Elles sont enfin enduites d’un sucre qui provient de betteraves qui, comme  les blés, ont reçu leur bonne dose d’engrais et de pesticides. Ce sucre est  extrait par :
- défécation à la chaux et à l’anhydride sulfureux,
- puis décoloré au sulfoxylate de sodium,
- puis raffiné au norite et à l’alcool isopropylique.
- Il est enfin azuré au bleu anthraquinonique.
Par ces traitements, les cerises ayant donc perdu tout leur goût, il est nécessaire d’ajouter un parfum artificiel alimentaire. Ce parfum est une recréation synthétique du goût et de l’odeur à partir d’éléments artificiels issus de la chimie du pétrole aux prix de revient extrêmement faibles-  par économie d’echelle – en comparaison du parfum naturel de fruit.
L’exemple developpé est ici la cerise, mais de tels composés servent à recréer aussi bien des parfums artificiels de fraise, d’ananas, de framboise, de miel, de caramel, de muguet.. etc.
* Le parfum artificel de cerise se compose donc des molécules synthétiques (donc à la stéréochimie inversée) suivantes :
- acétate d’éthyle
- acéthyl méthylcarbinol
- butyrate d’isoamyle
- caproate d’ethyle
- caprylate d’isoamyle
- caprate d’éthyle
- butyrate de terpenyle
- geraniol
- butyrate de geranyl – acetylacetate d’ethyle
- heptanoate d’ethyle
- aldéhyde benzoique
- aldéhyde p-toluique
- vanilline
- essence artificielle d’amande amère SAP
- essence artificielle de girofle Bourbon
- essence artificielle de cannelle Ceylan
- essence de lie de vin
IL NE RESTE PLUS QU’A VOUS SOUHAITER : BON APPÉTIT, ou plutôt BONNE CHANCE!!!!!
 Publié par Sante Globale le 17 février 2011 
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La Boucherie Végétarienne, la nourriture du futur ?
Premièrement, ce morceau de viande à l’aspect ordinaire, vous semble-t-il être constitué de viande animale ? Deuxièmement, connaissez-vous l’empreinte environnementale de la consommation de viande dans le monde ? Troisièmement, si vous êtes un adepte de viande, un végétarien invétéré ou aucun des deux, connaissez-vous au moins le concept de boucherie végétarienne ?

Partons à la découverte de ce concept culinaire encore méconnu en France
La Boucherie Végétarienne, concept né en Hollande et largement répandu dans les pays du Nord (Belgique, Finlande, Hollande et encore Allemagne) est à l’origine une idée trouvée par Jaap Korteweg (agriculteur biologique se consacrant exclusivement à la redéfinition de l’agriculture industrielle moderne).
C’est en collaboration avec un chef de cuisine reconnu que cette innovation culinaire voit le jour en 2010. Le principe est simple, le morceau de viande que nous vous avons présenté au début de l’article est tout simplement une viande végétarienne.
Alors comment une viande peut-elle être à la fois une viande et végétarienne...? 
Il s’agit d’un substitut de « viande » constitué non pas de matière animale mais de matière végétale et sa différence avec un simple tofu est apparemment sa consistance et son goût quasi-identique à la viande animale. Grâce à de nouvelles techniques développées par une université hollandaise, on peut reproduire les fibres de la viande en utilisant une machine qui met sous pression une pâte obtenue à partir de graines de soja. Certains de ces produits sont constitués également de lupin.
Le but est de réellement conserver les mêmes attributs de la viande que ce soit le goût, la texture et aussi les bienfaits mais sans utiliser de viandes animales.
Mais pourquoi cette innovation culinaire et pour qui ?    
Réponse au « pourquoi ? »  A cause de l’impact de l’agriculture industrielle de viande et de consommation de viande dans le monde.
En quelques chiffres voici l’accablant constat :
- Biodiversité : 83% du lait mondial produit par une seule race de vaches
- Climat : 30 % des émissions de gaz à effet de serre produites par l’élevage
- Terre : 40 % des céréales mondiales destinées à l’élevage
- Eau : 15 500 litres d’eau pour 1kg de bœuf
- Dernière inquiétude avec l’antibiorésistance : 100 000 tonnes d’antibiotiques par an pour les élevages chinois
L’élevage consomme en effet plus d’antibiotiques que l’humanité. Cette situation est une conséquence directe des conditions intensives d’élevage, plus exposées aux épidémies. Les antibiotiques sont aussi largement utilisés pour accélérer la croissance des animaux. A titre d’exemple, un porc qui reçoit des antibiotiques a besoin de 10 à 15% d’aliments en moins pour atteindre le même poids qu’un animal non dopé. Si l’Union européenne a interdit l’usage des antibiotiques comme facteur de croissance, leur consommation n’y a toujours pas baissé. Ailleurs, elle continue d’augmenter. A elle seule, la Chine administre à ses élevages 100 000 tonnes d’antibiotiques chaque année.  (Source)
Le soja et le lupin consommeraient beaucoup moins en CO2
En effet, au-delà de la simple innovation culinaire, ce qui reste révolutionnaire dans ce concept est l’utilisation du soja qui est, dans l’agriculture industrielle traditionnelle, justement utilisé à hauteur de 90% pour nourrir les animaux d’élevage.
On peut appeler ça l’ironie de la situation ou encore le comble du sort mais notez qu’à l’échelle mondiale, le bétail et animaux destinés à l’élevage mangent beaucoup plus que l’humanité toute entière alors que ces bêtes vont finir tout simplement dans nos assiettes.
Un kilo de viande nécessite cinq à douze kilos de soja. Ainsi, quelqu’un qui consomme des protéines végétales utilise jusqu’à 10 fois moins de soja que quelqu’un qui consomme des protéines animales.
La boucherie végétarienne affirme qu’en théorie, ils seraient capables de nourrir jusqu’à 30 milliards de personnes avec leur zone agricole actuelle (culture de lupin et de soja) et que, par conséquent, il y aurait plus d’espace disponible pour la nature sur terre.
Les océans seraient également préservés puisque la boucherie propose une alternative à la surpêche avec par exemple, le thon sans « poisson ».
Réponse au « pour qui? »
Pour tout le monde, les végétariens bien entendu (à part si l’aspect « viande » dérange) et pour les incontestables « carnivores » adeptes de viande, puisque l’innovation est en partie faite pour les amateurs de viande qui souhaiteraient s’en passer sans se passer de son plaisir.
Mais pour tout le monde, veut dire également que ce nouveau concept tend à réduire les inégalités mondiales au niveau de l’alimentation. En effet, la consommation de viande traditionnelle est totalement inégalitaire dans le monde entre les différents pays.
Le Thym, la plante de toutes les saisons !
Le thym, sous sa forme commune, est une plante importante de la pharmacopée, et particulièrement dans le Sud de la France où elle pousse naturellement. Outre son utilisation aromatique dans la cuisine provençale, ses vertus diverses sont à même de soulager une grande variété d'affections respiratoires et intestinales. Il constitue ainsi un anti-infectieux à large spectre et un stimulant de l'immunité.
On peut l’utiliser en infusions, huiles essentielles, sirops et teintures
Par voie interne, il soulage un large panel de pathologies respiratoires: il calme les quintes de toux, notamment dans les affections de type coqueluche, bronchite, pleurésie, coqueluche, angine, otite, rhume, rhinite, rhinopharyngite. ainsi que d'autres de la sphère pulmonaire (emphysème par exemple) par son effet spasmolytique. On l'utilise aussi pour l'asthme ou le rhume des foins.
Antiseptique et antifongique, il a une action sur les affections buccales et dentaires (mauvaise haleine, stomatite, aphtes, gingivite) et il soulage les inflammations de la sphère buccopharyngée, caries, soins dentaires divers, sous forme de bains de bouche.
Il diminue les sécrétions nasales ou rhinorrhées.
Il a en outre des vertus spasmolytiques et va soulager les dérèglements intestinaux tels que diarrhée, ballonnements, flatulences, colopathies diverses.
En externe, on peut l’utiliser sur de nombreuses pathologies dermatologiques. Ses vertus antivirales, antimicrobiennes et antiseptiques sont mises à profit dans le traitement des mycoses, des plaies, de la gale, de l'herpès et, globalement, d'un large panel d'affections cutanées (dermatite, couperose, varicelle, mycoses, plaies, piqûres d'insectes, pédiculose) allant jusqu'au zona.
Enfin, depuis quelques décennies, les propriétés antivieillissement et antioxydantes du thym ont été mises en avant par les scientifiques.
Alors n’hésitez pas, mettez du thym dans vos jardins et jardinières…

1 commentaire:

  1. MA CURE D'HERPÈS AVEC DES RÉSULTATS NÉGATIFS.
    Prenez votre temps pour lire mon article sur la façon dont j'ai surmonté le virus de l'herpès si facilement, je viens de New York, aux États-Unis. Je vois habituellement mon épidémie 3-4 semaines plus tard. Mon ami m'a présenté à un phytothérapeute qui guérit le virus de l'herpès et j'en ai été témoin moi-même. (email du médecin.. (usmandrhazim@gmail.com) cela fait 2 ans que je me suis remis de ce virus, plus d'épidémies, plus de symptômes de virus de l'herpès, je suis tellement heureuse d'avoir rencontré des personnes guéries et j'ai lu leur témoignage, après en prenant la phytothérapie je suis allé voir mon médecin pour vérifier si j'étais totalement négatif, il m'a confirmé que je suis 100% négatif pour le virus.Il est difficile de croire que j'ai été guéri de l'herpès.Avec la phytothérapie du Dr Hazim j'ai été testé négatif. Après avoir utilisé la phytothérapie je suis allé dans plusieurs laboratoires pour un test sanguin et le résultat était le même, herpès négatif, est-il possible que j'aie été guéri ?Parce que je pensais que ce n'était pas un remède, je suis tellement content du résultat que j'ai obtenu aujourd'hui. Je me sens bien, vous pouvez aussi le contacter pour un traitement.. Aucune douleur et mon résultat est négatif f après avoir utilisé le médicament de photothérapie Dr Hazim. Il est vrai qu'ils disent qu'il n'y a pas de problème avec une solution. contactez le grand médecin pour un guérison complète de tout type de virus et de maladie, son adresse e-mail .. ( usmandrhazim@gmail.com) Whatsapp / appelez le +2349058026857

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